Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dans ses Souvenirs littéraires, Maxime Du Camp, journaliste et romancier, nous donne d'inoubliables portraits de Lamartine vieillissant ; de Nerval en...
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Résumé
Dans ses Souvenirs littéraires, Maxime Du Camp, journaliste et romancier, nous donne d'inoubliables portraits de Lamartine vieillissant ; de Nerval en proie à la folie, hanté par le suicide, écrivant Aurélia ; de Fromentin, peintre de l'exotisme, auteur du remarquable Dominique ; de Delacroix amoureux jusqu'au désespoir de la couleur. On retrouve aussi George Sand et Alfred de Musset qui se déchirent et se trahissent. Mais avant tout, Maxime Du Camp est l'ami de Théophile Gautier et de Gustave Flaubert, pour qui il agit en confident, en lecteur et en critique privilégié. Ces textes pris sur le vif racontent les voyages des deux amis à travers la Bretagne, la Grèce, Constantinople, l'Égypte et la Libye. Maxime Du Camp pouvait bien écrire que ces maîtres étaient " des hommes et non des demi-dieux ", et ajouter : " J'ai vécu près d'eux et je les ai jugés en contemporain car entre eux et moi le verre grossissant de la postérité ne s'était point interposé. "