Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dans un futur proche, du haut de sa tour de verre, l'Institut de physique de Paris étend son emprise sur la capitale, il veille sur toute chose et surveille...
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Livré chez vous entre le 12 septembre et le 17 septembre
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Résumé
Dans un futur proche, du haut de sa tour de verre, l'Institut de physique de Paris étend son emprise sur la capitale, il veille sur toute chose et surveille chaque citoyen, il est la police de la pensée en même temps qu'il assure une police de proximité. Mais un beau jour, rien ne va plus : un homme se suicide. L'Institut confie aussitôt l'enquête à Albert Aichtaïne, l'un de ses inspecteurs les plus zélés, amoureux d'une belle Hélène. Il apparaît très vite que les investigations menées par Albert ne font qu'épaissir le mystère : d'autres morts surviennent, un suspect est arrêté mais se volatilise au nez et à la barbe de ses juges. Un homme, enfin, mi-conteur pervers mi-génie des lieux, s'escrime à savonner la planche d'une histoire déjà mal embarquée, esquissant à grands traits de calembours et autres malices dont la littérature est coutumière une tout autre histoire, où ni la Vérité ni la Loi n'ont leur mot à dire. Voici un premier roman bourré d'humour et de jeux de mots qui auraient enchanté Raymond Queneau ou Jean Tardieu, un tempérament littéraire déjà bien trempé qui se dévoile au travers de dérapages incessants, de glissements, d'un irrespect affiché à l'égard de l'histoire et des conventions narratives. Aude Bellin du Coteau est différente, atypique : ce qu'elle interroge, à sa manière mutine et profonde, c'est le rapport délicat de la littérature et des histoires, et ce qu'elle ne cesse de déjouer, c'est l'assimilation mécanique de celle-ci à celles-là.