Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Conte moral, conte libertin, conte oriental, conte philosophique... le XVIIIe siècle voit ce genre littéraire essentiellement oral, simple divertissement...
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Résumé
Conte moral, conte libertin, conte oriental, conte philosophique... le XVIIIe siècle voit ce genre littéraire essentiellement oral, simple divertissement et jeu mondain, devenir le lieu d,'expression des préoccupations intellectuelles et morales d'une époque qui cherchait à concilier les découvertes de la raison et les intuitions de l'âme, fût-ce au détriment de la vertu. Ce recueil propose quatre contes, parus entre 1743 et 1789, qui sont à la fois, parce qu'ils mêlent, non sans faire preuve d'ironie, quotidien et mondes imaginaires, une critique des mœurs et un plaidoyer pour un retour à une vie simple et proche de la nature. Si les Mémoires turcs font le procès de l'hypocrisie sociale et de l'intolérance, Marmontel, moins exotique, prône dans Le Scrupule une morale de la modération que découvrent aussi, après bien des aventures, les héros de La Reine de Golconde. Mais l'optimisme est absent de l'histoire de Pauline qui, victime de la vertu, avant les héroïnes du divin marquis, vit un triste destin. Nous ne connaissons trop souvent de ce XVIIIe siècle foisonnant que les seuls contes philosophiques ou libertins de quelques grands auteurs. Nous avons souhaité proposer au lecteur du XXIe siècle d'autres récits plaisants où s'exprime tout autant " une philosophie du changement et de l'universelle illusion ".