Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Après le succès de Mauvaise pente (prix Fémina Etranger 2001), Keith Ridgwav a voulu surprendre son monde en changeant de registre - et même en inventant...
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Résumé
Après le succès de Mauvaise pente (prix Fémina Etranger 2001), Keith Ridgwav a voulu surprendre son monde en changeant de registre - et même en inventant une forme romanesque de sa façon : une fiction intimiste sur le thème de l'impossible solitude, qui démarrerait comme un drôle de rêve - enfin, pas si drôle que ça - et s'achèverait en quasi-thriller. Prenez dans le Dublin d'aujourd'hui, une poignée de personnages qui n'ont aucune raison de se rencontrer, jetez-les en vrac sur le tapis de jeu et laissez-les se débrouiller... non sans leur avoir lancé maints bâtons dans les jambes, car on n'est pas là pour s'ennuyer. On n'en dira pas plus, car le romancier cultive avec talent l'art de servir à son lecteur ce qu'il n'attendait pas. Tirant en coulisse les ficelles de quelques pantins astucieusement choisis, pas forcément sympathiques au départ, il trouve vite le moyen, à force de les faire trébucher, s'égarer, se méprendre sur les autres et sur eux-mêmes, de nous les rendre terriblement fraternels. La critique anglo-saxonne a applaudi, et d'autant mieux que le prestidigitateur finit par sortir de sa poche un mouchoir... que nous sommes prêts à mouiller de vraies larmes.