Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Peine perdue constitue un triptyque, envisagé comme tel dès le départ, en 1988, et achevé en 2002. S'y trouvent rassemblés une centaine de contes...
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Résumé
Peine perdue constitue un triptyque, envisagé comme tel dès le départ, en 1988, et achevé en 2002. S'y trouvent rassemblés une centaine de contes brefs, ou de fables, qui se répondent de loin en loin, comme en écho, traitant avec légèreté et par touches très fines aussi bien de l'amour, de la solitude et de l'absurdité, que de Dieu aux prises avec le Verbe et des tragédies intimes ordinairement vouées à l'insignifiance et au silence. Divagations par des chemins sans but qui croisent ceux de Sterne, de Lichtenberg, de Pessoa et de beaucoup d'autres. Moralités renversées, éloges du Rien et de l'idiotie dont les contes philosophiques orientaux et de la Chine ancienne étaient familiers. Ces méditations à mi-voix, où l'allégresse surgit du drame, de la désillusion et de l'attention d'un être solitaire à " tout ce qui arrive ", sont présentées selon trois périodes ou moments successifs : I - Avant que ça commence (Bribes et filaments pour une conduite sans destination) II - Moins que rien (Ressassements sur la tentation d'insignifiance) III - Sans nouvelles (Approximations et généralités sur le sens de l'inexistence).