Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'Angleterre a été, selon Tocqueville, sa seconde patrie intellectuelle. Marié à une Anglaise, il a entretenu des relations suivies avec les élites...
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Résumé
L'Angleterre a été, selon Tocqueville, sa seconde patrie intellectuelle. Marié à une Anglaise, il a entretenu des relations suivies avec les élites d'outre-Manche, dont témoignent les cent cinquante-cinq lettres rassemblées ici, qui complètent deux volumes précédemment parus. Tocqueville avait avec les aristocrates anglais une connivence sociale mais l'Angleterre ne lui inspirait qu'une admiration mêlée. Il s'indignait de la domination qu'elle exerçait en Irlande et surtout redoutait pour la France sa prééminence maritime, sa force commerciale et son influence en Orient. Des dissentiments parfois violents l'opposèrent aux hommes politiques anglais dans les années 1840. Et si, au moment de la guerre de Crimée, il se félicita de l'alliance franco-anglaise, c'est en s'attristant de l'estime de nos alliés pour Napoléon III. Cette correspondance montre la clairvoyance du jugement de Tocqueville en matière de politique internationale et permet de saisir ce qu'a apporté à sa pensée la comparaison constante de la France avec l'Angleterre.