Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Cet ouvrage, qui fut considéré comme un des trois chefs d'œuvre de l'époque Qing (1644-1911) avec le roman Rêves au pavillon rouge et les contes...
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Résumé
Cet ouvrage, qui fut considéré comme un des trois chefs d'œuvre de l'époque Qing (1644-1911) avec le roman Rêves au pavillon rouge et les contes de Pu Songling, est une suite de courts récits ou anecdotes. Ce genre de recueil fut fort pratiqué par les lettrés chinois, qui notaient au fil de la plume, ou plutôt au fil du pinceau, des histoires extraordinaires, apparitions de fantômes, de renards sous forme humaine, rencontres bizarres, faits divers dignes de la une. L'intérêt particulier de Ji Yun est qu'il ajoute son commentaire personnel, où l'humour se conjugue avec sa haine de l'idéologie néo-confucianiste et de l'hypocrisie des lettrés. A la fois agnostique de bon sens et en même temps curieux de tout ce qui est étrange, s'il était né sous nos cieux, sans doute, comme Flaubert, n'aurait-il supporté ni ceux qui prétendent que Dieu existe, ni ceux qui nient son existence.