Lire un roman de Luca Di Fulvio c’est découvrir où retrouver l’authenticité de l’Italie, c’est partir en voyage dans son histoire… Je suis passé à ça d’avoir un coup de cœur, un roman immersif qui se dévore.
5 mars 1870, Royaume d’Italie (Olengo, commune de Novara).
Pietro Diotavelli, orphelin de 16 ans survit dans l’orphelinat Regio Istituto di San Michele Archangelo tandis que ceux qui travaillent au nom de la charité chrétienne ne manque de rien.
Ce jour-là, la comtesse d’Odìn lui offre sa chance, celle d’une autre vie, d’un autre destin même si cela
signifie quitter Livio, son ami et son frère.
Delta du Pô, Pomposa.
Marta a grandi au rythme des représentations du cirque Callari, un événement fait ressurgir des limbes de son passé semant le trouble, entre réel et irréel. Le cirque recueille les enfants maltraités et abandonnés, leur offrant un refuge loin de la violence qu’ils ont connu.
En faillite après avoir donné toute leurs possessions pour le Royaume d’Italie, Pietro et la mystérieuse comtesse fuient pour recommencer une nouvelle vie ailleurs.
Marta retrouve Livio, le distributeur de tracts et celui qui lui offre son premier baiser.
A Rome, leur destin va se jouer tel des pions sur l’échiquier du pouvoir tandis que la comtesse et Pietro sont poursuivis par d’impitoyables vautours.
Au mépris du danger, tous vont survivre et se battre pour leurs idéaux, ceux d’une Italie unifiée et juste.
Pietro et son ami le prince Ludovico sont la nouvelle génération des combattants pour que Rome redevienne libre. Par nécessité, Pietro s’associe avec l’Albanese, la pire ordure de Rome. Au plus près de l’ennemi pour mieux assouvir sa vengeance.
Grâce à Ludovico, Pietro rencontrera Marta et connaîtra l’amour. Passionné de photographie, il utilisera son don pour immortaliser la Rome tel qu’il la voie au quotidien, entre richesse et pauvreté, entre beauté et danger.
Amour, idéaux et vengeance… Le destin d’hommes et de femme à l’avènement de l’édification de l’Italie.
Luca Di Fulvio nous dépeint Rome entre opulence et misère, où pour survivre on peut basculer du côté du mal et où seul l’amour pourra peut-être notre salut, l’espoir de revenir dans le bon temps. Les descriptions et le contexte historique sont fascinants et sont très bien écrits, faisant voyager ses lecteurs grâce une plume fluide et efficace qui offre un récit très fin avec une âme celle de celui qui aime cette ville.
L’histoire de la création de l’Italie où se joue le destin de Marta et Pietro sous le regard de Nella, une mystérieuse comtesse républicaine.
A la découverte d’une Rome authentique en quête de liberté !
Lire un roman de Luca Di Fulvio c’est découvrir où retrouver l’authenticité de l’Italie, c’est partir en voyage dans son histoire… Je suis passé à ça d’avoir un coup de cœur, un roman immersif qui se dévore.
5 mars 1870, Royaume d’Italie (Olengo, commune de Novara).
Pietro Diotavelli, orphelin de 16 ans survit dans l’orphelinat Regio Istituto di San Michele Archangelo tandis que ceux qui travaillent au nom de la charité chrétienne ne manque de rien.
Ce jour-là, la comtesse d’Odìn lui offre sa chance, celle d’une autre vie, d’un autre destin même si cela signifie quitter Livio, son ami et son frère.
Delta du Pô, Pomposa.
Marta a grandi au rythme des représentations du cirque Callari, un événement fait ressurgir des limbes de son passé semant le trouble, entre réel et irréel. Le cirque recueille les enfants maltraités et abandonnés, leur offrant un refuge loin de la violence qu’ils ont connu.
En faillite après avoir donné toute leurs possessions pour le Royaume d’Italie, Pietro et la mystérieuse comtesse fuient pour recommencer une nouvelle vie ailleurs.
Marta retrouve Livio, le distributeur de tracts et celui qui lui offre son premier baiser.
A Rome, leur destin va se jouer tel des pions sur l’échiquier du pouvoir tandis que la comtesse et Pietro sont poursuivis par d’impitoyables vautours.
Au mépris du danger, tous vont survivre et se battre pour leurs idéaux, ceux d’une Italie unifiée et juste.
Pietro et son ami le prince Ludovico sont la nouvelle génération des combattants pour que Rome redevienne libre. Par nécessité, Pietro s’associe avec l’Albanese, la pire ordure de Rome. Au plus près de l’ennemi pour mieux assouvir sa vengeance.
Grâce à Ludovico, Pietro rencontrera Marta et connaîtra l’amour. Passionné de photographie, il utilisera son don pour immortaliser la Rome tel qu’il la voie au quotidien, entre richesse et pauvreté, entre beauté et danger.
Amour, idéaux et vengeance… Le destin d’hommes et de femme à l’avènement de l’édification de l’Italie.
Luca Di Fulvio nous dépeint Rome entre opulence et misère, où pour survivre on peut basculer du côté du mal et où seul l’amour pourra peut-être notre salut, l’espoir de revenir dans le bon temps. Les descriptions et le contexte historique sont fascinants et sont très bien écrits, faisant voyager ses lecteurs grâce une plume fluide et efficace qui offre un récit très fin avec une âme celle de celui qui aime cette ville.
L’histoire de la création de l’Italie où se joue le destin de Marta et Pietro sous le regard de Nella, une mystérieuse comtesse républicaine.