Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Tu es un ange : je baise tes pieds, je baise tes larmes ! Je reçois ton adorable lettre, j'ai à peine le temps de t'écrire ce mot, moi pauvre galérien...
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Résumé
" Tu es un ange : je baise tes pieds, je baise tes larmes ! Je reçois ton adorable lettre, j'ai à peine le temps de t'écrire ce mot, moi pauvre galérien travaillant nuit et jour, mais toute mon âme est pleine de toi. " Ainsi débute une correspondance, pour partie perdue, entre un jeune pair de France, Victor Hugo, et sa maîtresse, Léonie Biard, qui se fait appeler Mme d'Aunet. Ils se sont connus en 1842, se sont aimés avant la mort de Léopoldine, en 1843, se sont retrouvés après la tragédie de Villequier. En 1845, à la requête du mari, les amants sont pris en flagrant délit d'adultère. Le scandale est retentissant. Leur passion, trop charnelle pour ne se nourrir que de souvenirs, s'éteignit pendant l'exil de Victor Hugo. Le bref roman épistolaire que forment ces lettres garde une part de mystère.