Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Doris Lessing a défrayé la chronique en 1984 en révélant avoir écrit deux romans sous le pseudonyme Jane Somers, piège tendu aux éditeurs et à...
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Livré chez vous entre le 16 octobre et le 19 octobre
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Résumé
Doris Lessing a défrayé la chronique en 1984 en révélant avoir écrit deux romans sous le pseudonyme Jane Somers, piège tendu aux éditeurs et à la critique anglo-saxonne. Journal d'une voisine, auquel succédera Si vieillesse pouvait, est le premier de ces récits. Ecrit avec un surprenant mélange de force et de sensibilité, il évoque la rencontre de deux femmes : Jane Somers, rédactrice en chef d'un magazine féminin londonien, et Maudie, une vieille dame seule, âgée et malade. De cette confrontation improbable naît une amitié profonde et bouleversante qui va révéler à Jane sa propre vulnérabilité mais aussi lui ouvrir les yeux sur la société, son injustice, et la nécessité de s'engager. Sans jamais se départir du soupçon de distance ironique qui fait la force de son écriture, Doris Lessing décrit avec un talent extraordinaire les rapports qui se nouent entre ces deux êtres, la tentative d'apprivoisement de l'une par l'autre, les combats désespérés de Maudie pour sauver sa dignité. A travers ce tableau intime et humain qui est avant tout une réflexion sur la vieillesse, elle porte un regard impitoyable sur notre époque, ses aveuglements, et le rôle que chacun décide ou non d'y jouer.