Désolé, mais c’est mauvais
Une compilation des récits « historiques » de R.E. Howard. Onze histoires ayant toutes pour cadre l’Orient, au temps des croisades. A chaque fois, un héros européen plus grand, plus fort que tous les autres. Hum… l’auteur aurait-il eu des complexes, ou bien écrivait-il pour des lecteurs complexés ? Rendons-lui justice : les orientaux apparaissent aussi nobles et courageux que les occidentaux, mais pour tous il semble que la vie de l’adversaire ait bien peu de valeur…
Récits dits historiques car les héros imaginaires croisent de grands conquérants
orientaux : Saladin, Gengis Khan, Soliman et d’autres moins connus qui éveillent la curiosité. Mais ces onze nouvelles, de piètre qualité et sans imagination, n’ont pas vocation à nous édifier, loin de là, ce sont des Pulps, de la mauvaise littérature uniquement destinée à distraire le lecteur en mal d’aventure.
Une édition reproduisant la mise en page des parutions originales aurait été plus appropriée : au moins on aurait su à quoi s’en tenir.
Désolé, mais c'est mauvais!
Désolé, mais c’est mauvais
Une compilation des récits « historiques » de R.E. Howard. Onze histoires ayant toutes pour cadre l’Orient, au temps des croisades. A chaque fois, un héros européen plus grand, plus fort que tous les autres. Hum… l’auteur aurait-il eu des complexes, ou bien écrivait-il pour des lecteurs complexés ? Rendons-lui justice : les orientaux apparaissent aussi nobles et courageux que les occidentaux, mais pour tous il semble que la vie de l’adversaire ait bien peu de valeur…
Récits dits historiques car les héros imaginaires croisent de grands conquérants orientaux : Saladin, Gengis Khan, Soliman et d’autres moins connus qui éveillent la curiosité. Mais ces onze nouvelles, de piètre qualité et sans imagination, n’ont pas vocation à nous édifier, loin de là, ce sont des Pulps, de la mauvaise littérature uniquement destinée à distraire le lecteur en mal d’aventure.
Une édition reproduisant la mise en page des parutions originales aurait été plus appropriée : au moins on aurait su à quoi s’en tenir.