Le règne du vivant

Par : Alice Ferney

Disponible d'occasion :

  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages205
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.155 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,6 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-330-07047-2
  • EAN9782330070472
  • Date de parution02/11/2016
  • CollectionBabel
  • ÉditeurBabel

Résumé

Magnus Wallace, militant écologiste, parcourt les mers à bord de l' "Arrowhead" pour arraisonner les navires baleiniers qui braconnent en zones protégées. Un combat pour les droits de l'animal, une insurrection singulière qui force l'admiration, racontés dans un roman qui célèbre la beauté du vivant et la nécessité d'une prise de conscience.
Magnus Wallace, militant écologiste, parcourt les mers à bord de l' "Arrowhead" pour arraisonner les navires baleiniers qui braconnent en zones protégées. Un combat pour les droits de l'animal, une insurrection singulière qui force l'admiration, racontés dans un roman qui célèbre la beauté du vivant et la nécessité d'une prise de conscience.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.7/5
sur 6 notes dont 6 avis lecteurs
c'est la grande GRANDE classe !
Ce livre est une étoile filante décrivant une trajectoire éblouissante. Celle d'un homme et de son équipage se dressant face à la destruction des océans orchestrée par des armées industrielles sans scrupules. S'inspirant largement de la geste Watsonienne, Alice Ferney trempe ici sa plume dans les eaux primordiales pour signer un récit grondant, un chant insurgé et envoûtant. Et qu'on ne s'y trompe pas : inutile de brandir l'épouvantail "écologie" pour tenter d'étiqueter le propos de ce roman. Lorsque l'on a dit ça, on a tout et rien dit. Bien sûr qu'il s'agit d'écologie, mais qu'est-ce que cela signifie au fond ? Ce dont parle le roman, c'est de meurtres perpétrés sur des milliers d'animaux. Des meurtres accomplis sans aucun respect, aucune conscience : on y dépèce les mammifères vivants, on les asphyxie, on les tranche, on les remet à la mer encore palpitants, les yeux dilatés d'horreur. Ce dont parle le roman, c'est de palangres de plusieurs centaines de kilomètres qui tuent tout sur leur passage, même les oiseaux. C'est de l'éradication de tant d'espèces marines commanditées par des mafias ultra-riches qui vivent au-dessus de toutes les lois. On vide les océans de la vie si étonnante et mirifique qu'ils contiennent, et on remplace ça par des marées noires et des continents de plastiques. Pour avoir le plaisir de bouffer de la bonne graisse de baleine et des ailerons de requins à des prix exorbitants – entre autres. Ce dont parle ce roman, c'est de la cruauté humaine, de sa bêtise crasse, de son ignominie. Mais aussi, il nous donne à voir l'étoffe admirable dont sont faites quelques personnes, intelligentes et sensibles, et surtout courageuses et persévérantes. Quelle grandeur d'âme !!
Ce livre est une étoile filante décrivant une trajectoire éblouissante. Celle d'un homme et de son équipage se dressant face à la destruction des océans orchestrée par des armées industrielles sans scrupules. S'inspirant largement de la geste Watsonienne, Alice Ferney trempe ici sa plume dans les eaux primordiales pour signer un récit grondant, un chant insurgé et envoûtant. Et qu'on ne s'y trompe pas : inutile de brandir l'épouvantail "écologie" pour tenter d'étiqueter le propos de ce roman. Lorsque l'on a dit ça, on a tout et rien dit. Bien sûr qu'il s'agit d'écologie, mais qu'est-ce que cela signifie au fond ? Ce dont parle le roman, c'est de meurtres perpétrés sur des milliers d'animaux. Des meurtres accomplis sans aucun respect, aucune conscience : on y dépèce les mammifères vivants, on les asphyxie, on les tranche, on les remet à la mer encore palpitants, les yeux dilatés d'horreur. Ce dont parle le roman, c'est de palangres de plusieurs centaines de kilomètres qui tuent tout sur leur passage, même les oiseaux. C'est de l'éradication de tant d'espèces marines commanditées par des mafias ultra-riches qui vivent au-dessus de toutes les lois. On vide les océans de la vie si étonnante et mirifique qu'ils contiennent, et on remplace ça par des marées noires et des continents de plastiques. Pour avoir le plaisir de bouffer de la bonne graisse de baleine et des ailerons de requins à des prix exorbitants – entre autres. Ce dont parle ce roman, c'est de la cruauté humaine, de sa bêtise crasse, de son ignominie. Mais aussi, il nous donne à voir l'étoffe admirable dont sont faites quelques personnes, intelligentes et sensibles, et surtout courageuses et persévérantes. Quelle grandeur d'âme !!
  • brillant
  • Inspirant
  • détonant
Triste Antarctique
Plutôt un pamphlet qu'un roman, ou un coup de gueule avec un peu de poésie. Sur les questions d'écologie, on peut par exemple lire les bons romans de JC Rufin "le parfum d'Adam" ou "Impact" d'Olivier Norek. Et sur l'action militante, la référence Édouard Abbey avec "le gang de la clef à molette"!
Plutôt un pamphlet qu'un roman, ou un coup de gueule avec un peu de poésie. Sur les questions d'écologie, on peut par exemple lire les bons romans de JC Rufin "le parfum d'Adam" ou "Impact" d'Olivier Norek. Et sur l'action militante, la référence Édouard Abbey avec "le gang de la clef à molette"!
Ecolo
Une très belle écriture, pour ce roman écologique où on suit l’engagement de Magnus Wallace à travers la voix de Gérald, journaliste photographe. Ce qui m’a dérangé c’est le narrateur qui n’est pas le militant écologique mais le journaliste qui filme. Il est là pour montrer à tout le monde ce qui se passe, mais il n’est pas vraiment engagé comme l’est Magnus Wallace, pour le narrateur il y a de la curiosité et de l’admiration face à l’équipage et au militant. Je n’étais pas vraiment attirée par le sujet et pourtant il me touche beaucoup, mais dans un livre j’avais peur d’être déçue que ce ne soit pas vraiment un roman, mais plus un récit écologique, un plaidoyer. Et j’ai eu raison, ce n’est pas vraiment un roman, mais l’écriture est belle, les descriptions sont poétiques, crues, parfois violentes mais toujours avec une écriture sensible et pleine d’élégance. Qu’on soit sensible à la cause écolo ou pas, ce livre est très touchant, comment rester insensible devant ses hommes qui n’ont aucune limite quand ils ont leurs proies devant eux ? Alors que cette pêche est illégale ? Rien n’est épargné au lecteur, un livre avec des cadavres dépecés rejetés à la mer, des animaux torturés, la corruption, le trafic… tout y passe dans le récit. Pour moi il y a trop de dialogue et de longs discours théoriques dans ce récit ce qui rend la lecture un peu trop ennuyante, il n’y a pas de suspense on sait ce qui va arriver quand on lit ce livre. Heureusement que l’auteur a une belle écriture et que ce livre est court. Retrouvez ma chronique complète sur mon blog : http://dequoijememel.wordpress.com/2014/09/12/le-regne-du-vivant-alice-ferney-rentreelitteraire-lecture/
Une très belle écriture, pour ce roman écologique où on suit l’engagement de Magnus Wallace à travers la voix de Gérald, journaliste photographe. Ce qui m’a dérangé c’est le narrateur qui n’est pas le militant écologique mais le journaliste qui filme. Il est là pour montrer à tout le monde ce qui se passe, mais il n’est pas vraiment engagé comme l’est Magnus Wallace, pour le narrateur il y a de la curiosité et de l’admiration face à l’équipage et au militant. Je n’étais pas vraiment attirée par le sujet et pourtant il me touche beaucoup, mais dans un livre j’avais peur d’être déçue que ce ne soit pas vraiment un roman, mais plus un récit écologique, un plaidoyer. Et j’ai eu raison, ce n’est pas vraiment un roman, mais l’écriture est belle, les descriptions sont poétiques, crues, parfois violentes mais toujours avec une écriture sensible et pleine d’élégance. Qu’on soit sensible à la cause écolo ou pas, ce livre est très touchant, comment rester insensible devant ses hommes qui n’ont aucune limite quand ils ont leurs proies devant eux ? Alors que cette pêche est illégale ? Rien n’est épargné au lecteur, un livre avec des cadavres dépecés rejetés à la mer, des animaux torturés, la corruption, le trafic… tout y passe dans le récit. Pour moi il y a trop de dialogue et de longs discours théoriques dans ce récit ce qui rend la lecture un peu trop ennuyante, il n’y a pas de suspense on sait ce qui va arriver quand on lit ce livre. Heureusement que l’auteur a une belle écriture et que ce livre est court. Retrouvez ma chronique complète sur mon blog : http://dequoijememel.wordpress.com/2014/09/12/le-regne-du-vivant-alice-ferney-rentreelitteraire-lecture/
Alice Ferney
Docteur en économie, Alice Ferney s'est imposée sur la scène littéraire française dès la parution de Grâce et dénuement en 1997. Elle est notamment l'auteur de La conversation amoureuse, L'élégance des veuves, Dans la guerre et Les autres.
L'intimité
5/5
Alice Ferney
Poche
9,70 €
L'Intimité
5/5
Alice Ferney
E-book
9,49 €
Deux innocents
5/5
Alice Ferney
E-book
8,99 €
Deux innocents
5/5
Alice Ferney
Grand Format
22,00 €
Deux innocents
5/5
Alice Ferney
Poche
9,40 €
L'intimité
5/5
Alice Ferney
Poche
9,70 €
Grâce et dénuement
3/5
3.9/5
Alice Ferney
E-book
8,99 €
Les Bourgeois
4/5
3/5
Alice Ferney
E-book
9,49 €
La conversation amoureuse
4/5
3.6/5
Alice Ferney
E-book
9,99 €
Les Bourgeois
4/5
3/5
Alice Ferney
Poche
10,30 €
Le règne du vivant
3.7/5
2.7/5
Alice Ferney
E-book
7,49 €
L'élégance des veuves
3.3/5
Alice Ferney
E-book
6,99 €