Ce livre est une étoile filante décrivant une trajectoire éblouissante. Celle d'un homme et de son équipage se dressant face à la destruction des océans orchestrée par des armées industrielles sans scrupules. S'inspirant largement de la geste Watsonienne, Alice Ferney trempe ici sa plume dans les eaux primordiales pour signer un récit grondant, un chant insurgé et envoûtant.
Et qu'on ne s'y trompe pas : inutile de brandir l'épouvantail "écologie" pour tenter d'étiqueter le propos de ce roman. Lorsque l'on a dit ça, on a tout et rien dit. Bien sûr qu'il s'agit d'écologie, mais qu'est-ce que cela signifie au fond ?
Ce dont parle le roman, c'est de meurtres perpétrés sur des milliers d'animaux. Des meurtres accomplis sans aucun respect, aucune conscience : on y dépèce les mammifères vivants, on les asphyxie, on les tranche, on les remet à la mer encore palpitants, les yeux dilatés d'horreur.
Ce dont parle le roman, c'est de palangres de plusieurs centaines de kilomètres qui tuent tout sur leur passage, même les oiseaux.
C'est de l'éradication de tant d'espèces marines commanditées par des mafias ultra-riches qui vivent au-dessus de toutes les lois.
On vide les océans de la vie si étonnante et mirifique qu'ils contiennent, et on remplace ça par des marées noires et des continents de plastiques. Pour avoir le plaisir de bouffer de la bonne graisse de baleine et des ailerons de requins à des prix exorbitants – entre autres.
Ce dont parle ce roman, c'est de la cruauté humaine, de sa bêtise crasse, de son ignominie.
Mais aussi, il nous donne à voir l'étoffe admirable dont sont faites quelques personnes, intelligentes et sensibles, et surtout courageuses et persévérantes. Quelle grandeur d'âme !!
Ce livre est une étoile filante décrivant une trajectoire éblouissante. Celle d'un homme et de son équipage se dressant face à la destruction des océans orchestrée par des armées industrielles sans scrupules. S'inspirant largement de la geste Watsonienne, Alice Ferney trempe ici sa plume dans les eaux primordiales pour signer un récit grondant, un chant insurgé et envoûtant.
Et qu'on ne s'y trompe pas : inutile de brandir l'épouvantail "écologie" pour tenter d'étiqueter le propos de ce roman. Lorsque l'on a dit ça, on a tout et rien dit. Bien sûr qu'il s'agit d'écologie, mais qu'est-ce que cela signifie au fond ?
Ce dont parle le roman, c'est de meurtres perpétrés sur des milliers d'animaux. Des meurtres accomplis sans aucun respect, aucune conscience : on y dépèce les mammifères vivants, on les asphyxie, on les tranche, on les remet à la mer encore palpitants, les yeux dilatés d'horreur.
Ce dont parle le roman, c'est de palangres de plusieurs centaines de kilomètres qui tuent tout sur leur passage, même les oiseaux.
C'est de l'éradication de tant d'espèces marines commanditées par des mafias ultra-riches qui vivent au-dessus de toutes les lois.
On vide les océans de la vie si étonnante et mirifique qu'ils contiennent, et on remplace ça par des marées noires et des continents de plastiques. Pour avoir le plaisir de bouffer de la bonne graisse de baleine et des ailerons de requins à des prix exorbitants – entre autres.
Ce dont parle ce roman, c'est de la cruauté humaine, de sa bêtise crasse, de son ignominie.
Mais aussi, il nous donne à voir l'étoffe admirable dont sont faites quelques personnes, intelligentes et sensibles, et surtout courageuses et persévérantes. Quelle grandeur d'âme !!