Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Avec ce livre, achevé à l'aube de la Grande Guerre, on assiste à la naissance d'un grand poète-artiste. Comme Jean Cocteau le déclarera lui-même...
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Résumé
Avec ce livre, achevé à l'aube de la Grande Guerre, on assiste à la naissance d'un grand poète-artiste. Comme Jean Cocteau le déclarera lui-même plus tard : " Mon œuvre commence avec Le Potomak ; c'est une sorte de préface. "
Ce montage d'écrits et de dessins méconnus peut surprendre, voire désorienter le lecteur, mais ne saurait le laisser indifférent, car il y découvrira les cruels " Eugènes ", les affligeants " Mortimer ", ainsi, bien sûr, que le " Potomak ", monstrueux pensionnaire d'un aquarium situé sous l'église de la Madeleine.
Basé sur l'édition " définitive ", établie par l'auteur en 1924, cet ouvrage inclassable, à la fois étrange et divertissant, était depuis longtemps introuvable. Une centaine d'étonnantes illustrations (dont les très rares " Eugènes de la guerre ") accompagne un texte émaillé d'épigrammes éblouissantes, tel le célèbre : " Ce que le public te reproche, cultive-le, c'est toi ", dont Cocteau aurait pu faire sa devise.