Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
" Il lança sur cette ruche bourdonnant un regard qui semblait par avance en pomper le miel, et dit ces mots grandioses : "A nous deux maintenant ! "...
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" Il lança sur cette ruche bourdonnant un regard qui semblait par avance en pomper le miel, et dit ces mots grandioses : "A nous deux maintenant ! " Et pour premier acte du défi qu'il portait à la Société, Rastignac alla dîner chez madame de Nucingen. "
Quatrième de couverture assez étrange vu que Lucien de Rubempré ne figure pas dans cet épisode de la Comédie Humaine et que Marsay est à peine évoqué. Sinon grand moment de la littérature. La société décrite avec tant de finesse par Balzac est très actuelle malgré le langage un peu désuet. L’hypocrisie, le mensonge, l’intéressement dans ce milieu bourgeois et aisé parisien serait facilement transposable à notre époque. Il est agréable de relire un français impeccable et soigné, même du XIXème siècle. Le personnage du Père Goriot est énervant autant qu’il est touchant
dans sa paternité bafouée. Que dire d’autre sur Balzac, si ce n’est qu’il fait parti des incontournables de la littérature ?
4/5
Quatrième de couverture assez étrange vu que Lucien de Rubempré ne figure pas dans cet épisode de la Comédie Humaine et que Marsay est à peine évoqué. Sinon grand moment de la littérature. La société décrite avec tant de finesse par Balzac est très actuelle malgré le langage un peu désuet. L’hypocrisie, le mensonge, l’intéressement dans ce milieu bourgeois et aisé parisien serait facilement transposable à notre époque. Il est agréable de relire un français impeccable et soigné, même du XIXème siècle. Le personnage du Père Goriot est énervant autant qu’il est touchant dans sa paternité bafouée. Que dire d’autre sur Balzac, si ce n’est qu’il fait parti des incontournables de la littérature ?