Le marabout Charles Maison

Par : Braim Bourg
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  • Nombre de pages105
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.15 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-310-01817-3
  • EAN9782310018173
  • Date de parution25/08/2014
  • ÉditeurAmalthée

Résumé

1940-1945 : Rommel conduit l'Afrika Korps et pénètre dans le Sud tunisien dans le cadre du plan visant à frapper les armées françaises et à imposer l'ordre nazi en occupant la ligne frontalière entre la Tunisie et l'Algérie. Ce plan est dévoilé par Charles Maison, un jeune soldat français qui arrive dans la région du Kef, au Nord Ouest de la république tunisienne, au sein d'une mission militaire qui lui fait découvrir une véritable guerre civile installée entre les tribus de la région.
Charles parvient à imposer la paix en construisant une muraille qui sépare les tribus ennemies, puis essaie de convaincre les fellagas (résistants) de déposer les armes. Il réussit dans son entreprise et diffuse la culture des droits de l'Homme et de la suprématie de la loi, ce qui lui vaut le surnom de "Sidi Mizouni", d'être considéré comme un homme saint, un marabout, et de devenir l'élu de la plus belle fille.
Il gagne aussi la confiance du chef des fellagas et essaie de contrecarrer les activités criminelles de son chef hiérarchique, acquis aux thèses du Maréchal Pétain et à son régime. Ces positions valent à Charles de devenir la cible de ses supérieurs et de subir brimades et torture.
1940-1945 : Rommel conduit l'Afrika Korps et pénètre dans le Sud tunisien dans le cadre du plan visant à frapper les armées françaises et à imposer l'ordre nazi en occupant la ligne frontalière entre la Tunisie et l'Algérie. Ce plan est dévoilé par Charles Maison, un jeune soldat français qui arrive dans la région du Kef, au Nord Ouest de la république tunisienne, au sein d'une mission militaire qui lui fait découvrir une véritable guerre civile installée entre les tribus de la région.
Charles parvient à imposer la paix en construisant une muraille qui sépare les tribus ennemies, puis essaie de convaincre les fellagas (résistants) de déposer les armes. Il réussit dans son entreprise et diffuse la culture des droits de l'Homme et de la suprématie de la loi, ce qui lui vaut le surnom de "Sidi Mizouni", d'être considéré comme un homme saint, un marabout, et de devenir l'élu de la plus belle fille.
Il gagne aussi la confiance du chef des fellagas et essaie de contrecarrer les activités criminelles de son chef hiérarchique, acquis aux thèses du Maréchal Pétain et à son régime. Ces positions valent à Charles de devenir la cible de ses supérieurs et de subir brimades et torture.