Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Un cosmonaute survolant l'Afrique entre le Tropique du Cancer et l'Equateur apercevrait Djibouti à la jonction de deux blessures de l'écorce terrestre...
Lire la suite
23,00 €
Actuellement indisponible
Résumé
Un cosmonaute survolant l'Afrique entre le Tropique du Cancer et l'Equateur apercevrait Djibouti à la jonction de deux blessures de l'écorce terrestre : l'une séparant l'Arabie de l'Afrique, c'est la Mer Rouge, et l'autre remontant du Kenya et de la Tanzanie : le grand rift africain. Au nord, l'Erythrée. Au sud, la Somalie n'est qu'à vingt-six kilomètres. Cent kilomètres au sud-ouest nous sommes en Ethiopie et cent cinquante kilomètres nous séparent de "l'Arabie Heureuse", le Yémen. Djibouti-ville, aux senteurs d'épices et d'encens, est avant tout un port maritime, un aéroport et une gare de chemin de fer reliant le pays à Addis Abéba. A cent kilomètres de la ville, la région du Goubet - Lac Assal, qui enchanta Haroun Tazieff, nous offre son lac de sel, ses volcans, ses fissures ouvertes, ses amoncellements de lave solidifiée. Dans le nord, aux monts Gouda et Mabla, une douceur de vivre s'est installée au milieu d'une végétation arborescente. Vingt-trois mille kilomètres carrés, ce n'est pas très grand, et le pays a peu de ressources; mais sa richesse est ailleurs, elle a une grandeur universelle : ici l'on côtoie l'origine de l'Homme et le devenir d'un océan en gestation. Paysages étonnants, pasteurs-guerriers parcourant la brousse, splendeurs sous-marines, Djibouti ne s'oublie pas.