Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Créé - ou recrée - par la Constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799), le Conseil d'Etat célèbre son deuxième centenaire en cette fin...
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Résumé
Créé - ou recrée - par la Constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799), le Conseil d'Etat célèbre son deuxième centenaire en cette fin de deuxième millénaire. Il a tenu à y associer un vaste public pour lequel il reste une institution un peu secrète.
Le présent livre jubilaire essaie de dissiper quelques-uns des mystères qui l'entourent à travers des textes dus à des plumes aussi diverses que talentueuses et une très riche iconographie largement inédite.
Comment le Conseil a-t-il pu combiner les traditions monarchiques, impériales et républicaines qui ont forgé notre Etat moderne et survivre à tant de changements de régime depuis 1799 ? La première partie de l'ouvrage met en lumière quelques moments forts de son histoire depuis l'Ancien Régime jusqu'à la Constitution de 1958.
En quels bâtiments s'est-il réuni avant de rejoindre, en 1875, son siège actuel du Palais-Royal ? La deuxième partie décrit quelques-uns des lieux où, d'abord près du Prince, puis en s'en éloignant géographiquement, il a acquis son indépendance.
Qui sont ses membres, comment les recrute-t-on, comment y travaillent-ils, quelle place y tiennent les femmes ? Les réponses de la troisième partie à ces questions sont illustrées de portraits de personnages célèbres dont l'appartenance au Conseil d'Etat est parfois ignorée : Cuvier et Stendhal y côtoient Laferrière et René Cassin.
La dernière partie consacrée aux fonctions du Conseil d'Etat décrit les trois faces principales de son rôle : conseiller le gouvernement par ses avis et ses études, juger les litiges qui opposent le citoyen et l'administration, servir, en France comme à l'étranger. Du foulard islamique aux tracés d'autoroutes, de la procréation médicalement assistée à la réforme du code de la nationalité, du risque thérapeutique à l'Internet, il a été associé à tous les grands débats de société de ces dernières années. Rien d'étonnant si son audience dépasse très largement le cadre de l'hexagone.
Jean MASSOT