Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Du temps de Charles IX à celui de Louis XIII, lorsque Ronsard s'éloigne, la poésie s'aventure, explore les possibilités de son langage propre, indocile...
Lire la suite
7,10 €
Neuf
Actuellement indisponible
Résumé
Du temps de Charles IX à celui de Louis XIII, lorsque Ronsard s'éloigne, la poésie s'aventure, explore les possibilités de son langage propre, indocile aux tutelles, comme si le chœur des Muses avait choisi la polyphonie.
Vingt poètes, de ceux que l'on dit maniéristes ou baroques, gais mais sceptiques, tragiques quoiqu'en quête de certitudes sont réunis ici. À chacun, il a été fait la plus large place, afin que sa voix se pose, que nous puissions entendre sa tonalité personnelle. La lyre des uns (Pontus de Tyard, Agrippa d'Aubigné ou Jacques Davy Du Perron), haut tendue, s'oppose à la corde souple d'autres (Flaminio de Birague, Scalion de Virbluneau ou Marc Papillon dit - son patronyme ne pouvait satisfaire ! - le Capitaine Lasphrise) Les baroques traquent le sens du sens, tandis que les maniéristes courtisent l'insensé. Mais tous se penchent vers Eros, les deux Eros : Pygmalion, alchimiste du vrai au moyen du faux, et Narcisse, épris d'un vain désir, amoureux de son reflet liquide.