Michael Cunningham, né le 6 novembre 1952 aux Etats-Unis, est l'auteur de plusieurs best-sellers. Il étudie la littérature anglaise qu'il enseigne dans différents instituts, et parallèlement se lance dans l'écriture. Il écrit d'abord des nouvelles pour des revues puis des romans. Son premier roman, "La Maison du bout du monde" (1990) paraît en France en 1992 Il est suivi par "De chair et de sang" (1995) pour lequel il reçoit le Whiting Writers' Award ; ce titre sera édité en France en 2000. En 1999 il reçoit le prix Pulitzer pour "Les Heures", qui paraîtra en France en 2003. Depuis il a écrit "Le livre des jours" (2005 et 2006 en France) et "Crépuscule" en 2012. Dans tous ses romans transparaissent son amour pour la ville de New-York où il réside depuis de nombreuses années et sa difficulté à concilier liberté individuelle et vie familiale.
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- Nombre de pages358
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.44 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,5 cm
- ISBN2-85616-622-9
- EAN9782856166222
- Date de parution01/02/1992
- CollectionLes romans étrangers
- ÉditeurPresses de la Renaissance
Résumé
D'une rare force dramatique, la beauté lyrique transfigurant les événements du quotidien le plus fade en de puissants moments de grâce, l'histoire de Jonathan Glover et Bobby Morrow, deux amis d'enfance, couvre vingt-cinq ans de vie contemporaine. De Cleveland à New York, des extravagances des années soixante-dix à la recherche d'un lieu sûr et fixe en ce monde déboussolé, le roman explore la fragilité émotionnelle de notre époque. Pour les protagonistes, la quête d'une demeure, d'un refuge où échapper aux pièges de l'existence, semble plus nécessaire que jamais. La famille traditionnelle constitue au mieux le terrain d'alliances aléatoires : elle n'offre que de piètres moyens de défense contre les attaques du siècle, de la maladie et de la désaffection...
Michael Cunningham échappe, en tout cas, aux clichés du roman familial ou antifamilial. Cet auteur s'impose ainsi comme l'un des plus originaux et prometteurs dans ce nouveau courant romantique qui se dessine aujourd'hui dans la fiction américaine.
" La maison du bout du monde est un roman superbe et tout à fait majeur - ambitieux dans son inspiration ample et son large arrière-plan historique, mais tout à la fois intense, presque douloureusement intime. L'histoire de Jonathan, Clare, Bobby et Alice est aussi celle des années 70 et 80 en Amérique, - et réciproquement. J'applaudis à la réussite de Cunningham dans ce livre. Un roman destiné à durer. " (David Leavitt).
D'une rare force dramatique, la beauté lyrique transfigurant les événements du quotidien le plus fade en de puissants moments de grâce, l'histoire de Jonathan Glover et Bobby Morrow, deux amis d'enfance, couvre vingt-cinq ans de vie contemporaine. De Cleveland à New York, des extravagances des années soixante-dix à la recherche d'un lieu sûr et fixe en ce monde déboussolé, le roman explore la fragilité émotionnelle de notre époque. Pour les protagonistes, la quête d'une demeure, d'un refuge où échapper aux pièges de l'existence, semble plus nécessaire que jamais. La famille traditionnelle constitue au mieux le terrain d'alliances aléatoires : elle n'offre que de piètres moyens de défense contre les attaques du siècle, de la maladie et de la désaffection...
Michael Cunningham échappe, en tout cas, aux clichés du roman familial ou antifamilial. Cet auteur s'impose ainsi comme l'un des plus originaux et prometteurs dans ce nouveau courant romantique qui se dessine aujourd'hui dans la fiction américaine.
" La maison du bout du monde est un roman superbe et tout à fait majeur - ambitieux dans son inspiration ample et son large arrière-plan historique, mais tout à la fois intense, presque douloureusement intime. L'histoire de Jonathan, Clare, Bobby et Alice est aussi celle des années 70 et 80 en Amérique, - et réciproquement. J'applaudis à la réussite de Cunningham dans ce livre. Un roman destiné à durer. " (David Leavitt).











