La liberté de blâmer. Quarante ans de critique littéraire

Par : Renaud Matignon

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  • Nombre de pages621
  • PrésentationBroché
  • Poids0.54 kg
  • Dimensions12,5 cm × 20,0 cm × 4,2 cm
  • ISBN978-2-84100-551-2
  • EAN9782841005512
  • Date de parution20/02/2014
  • ÉditeurBartillat
  • PréfacierJacques Laurent

Résumé

"Pendant près de trente ans, les lecteurs de Renaud Matignon (1935-1998) ont guetté ses articles du Figaro et du Figaro littéraire, cette chronique narquoise qui était le fruit d'émerveillements nommés Marcel Aymé ou Antoine Blondin, et de ses agacements : Marguerite Duras ou Paulo Coelho. Ses "jeudis" avaient la saveur des dimanches en goguette. Que savions-nous de ce critique littéraire si discret dont l'oeil goguenard et pertinent nous intimidait? Qu'il avait été l'élève de Julien Gracq au lycée Claude Bernard, qu'il avait édité le poète Henri Michaux, qu'il était devenu journaliste à Arts et au Figaro, qu'il poursuivait de ses sarcasmes Sollers et Hallier, ses anciens complices de la revue Tel Quel.
Qu'il n'aimait pas écrire, qu'il écrivait à merveille. De A comme Abellio à y comme Yourcenar, Renaud Matignon aura épelé l'alphabet de la littérature avec une liberté qui n'appartenait qu'à lui. Nourri de lectures innombrables, il avait au fil des ans dessiné dans le ciel avec ses lettres une carte de Tendre dont les étoiles s'appelaient Paul Valéry ou Flaubert et la comète Jean-René Huguenin. Des centaines d'écrivains étaient par lui conviés à cette fête de l'intelligence et du style.
D'autres en étaient exclus, pour cause de médiocrité. Voici enfin réunies les meilleures chroniques de Renaud Matignon, à la manière d'une histoire de la littérature." Etienne de Montety.
"Pendant près de trente ans, les lecteurs de Renaud Matignon (1935-1998) ont guetté ses articles du Figaro et du Figaro littéraire, cette chronique narquoise qui était le fruit d'émerveillements nommés Marcel Aymé ou Antoine Blondin, et de ses agacements : Marguerite Duras ou Paulo Coelho. Ses "jeudis" avaient la saveur des dimanches en goguette. Que savions-nous de ce critique littéraire si discret dont l'oeil goguenard et pertinent nous intimidait? Qu'il avait été l'élève de Julien Gracq au lycée Claude Bernard, qu'il avait édité le poète Henri Michaux, qu'il était devenu journaliste à Arts et au Figaro, qu'il poursuivait de ses sarcasmes Sollers et Hallier, ses anciens complices de la revue Tel Quel.
Qu'il n'aimait pas écrire, qu'il écrivait à merveille. De A comme Abellio à y comme Yourcenar, Renaud Matignon aura épelé l'alphabet de la littérature avec une liberté qui n'appartenait qu'à lui. Nourri de lectures innombrables, il avait au fil des ans dessiné dans le ciel avec ses lettres une carte de Tendre dont les étoiles s'appelaient Paul Valéry ou Flaubert et la comète Jean-René Huguenin. Des centaines d'écrivains étaient par lui conviés à cette fête de l'intelligence et du style.
D'autres en étaient exclus, pour cause de médiocrité. Voici enfin réunies les meilleures chroniques de Renaud Matignon, à la manière d'une histoire de la littérature." Etienne de Montety.