-
Inattendu
-
Passionnant
-
Athyzeld
D'avantage roman de fantasy que fantastique, l'Annonce du Phénix remplit tous les codes du genre: un apprentissage de la vie, une quête pour retrouver la liberté perdue, des batailles magistrales. Tout cela est combiné dans ce roman très réussi. C'est une véritable épopée, une quête que nous propose l'auteur.
Le postulat de base est somme toute assez traditionnelle. Une prophétie annonce la naissance de deux enfants dotés d'un pouvoir suffisant pour détruire Maladra, la souveraine maléfique d'Athyzeld. Les enfants vont grandir, guidés par un mentor, jusqu'à être prêt à mener
de grandes batailles et à diriger des troupes.
La force de ce roman vient plutôt du fait qu'il oscille à merveille entre la psychologie des personnages, le travail de leur caractère - ce que j'appellerai de la fantasy féminine - et des batailles tout du long - fantasy masculine. C'est ce mélange qui rend son roman accessible à tout public, là où certains lecteurs préféreraient se tourner vers leur propres préférences, sentiments ou action. Tout type de lecteur peut donc y trouver son compte, du moment qu'il s'est apprécié les univers imaginaires et les épopées fantastiques.
Les relations entre les personnages (notamment entre Aldéric, Elhéa, Siméas et Othaël) apparaissent rapidement dans le roman comme tumultueuses. En effet, la jalousie est légion tout au long du récit. Probablement parce que la quête du pouvoir, l'envie de notoriété ou l'attention d'une femme sont des thèmes bien développés dans l'histoire.
L'auteur utilise un style tout à fait abordable pour les non-initiés à ce genre. On est certes loin de la complexité de la plume de Tolkien, mais le roman se lit au contraire tout seul.
Je ne peux que le recommander chaudement à tout amateur de fantasy. L'auteur a su mêler tous les ingrédients qui font mouche avec succès.
un régal!
D'avantage roman de fantasy que fantastique, l'Annonce du Phénix remplit tous les codes du genre: un apprentissage de la vie, une quête pour retrouver la liberté perdue, des batailles magistrales. Tout cela est combiné dans ce roman très réussi. C'est une véritable épopée, une quête que nous propose l'auteur.
Le postulat de base est somme toute assez traditionnelle. Une prophétie annonce la naissance de deux enfants dotés d'un pouvoir suffisant pour détruire Maladra, la souveraine maléfique d'Athyzeld. Les enfants vont grandir, guidés par un mentor, jusqu'à être prêt à mener de grandes batailles et à diriger des troupes.
La force de ce roman vient plutôt du fait qu'il oscille à merveille entre la psychologie des personnages, le travail de leur caractère - ce que j'appellerai de la fantasy féminine - et des batailles tout du long - fantasy masculine. C'est ce mélange qui rend son roman accessible à tout public, là où certains lecteurs préféreraient se tourner vers leur propres préférences, sentiments ou action. Tout type de lecteur peut donc y trouver son compte, du moment qu'il s'est apprécié les univers imaginaires et les épopées fantastiques.
Les relations entre les personnages (notamment entre Aldéric, Elhéa, Siméas et Othaël) apparaissent rapidement dans le roman comme tumultueuses. En effet, la jalousie est légion tout au long du récit. Probablement parce que la quête du pouvoir, l'envie de notoriété ou l'attention d'une femme sont des thèmes bien développés dans l'histoire.
L'auteur utilise un style tout à fait abordable pour les non-initiés à ce genre. On est certes loin de la complexité de la plume de Tolkien, mais le roman se lit au contraire tout seul.
Je ne peux que le recommander chaudement à tout amateur de fantasy. L'auteur a su mêler tous les ingrédients qui font mouche avec succès.