Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La Grande vacance voudrait avoir ni début ni fin, mais plutôt un milieu, au sens d'une substance : l'ouvrant à n'importe quelle page, on rencontrera...
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Résumé
La Grande vacance voudrait avoir ni début ni fin, mais plutôt un milieu, au sens d'une substance : l'ouvrant à n'importe quelle page, on rencontrera toujours ce qui commence. Une histoire pourtant se raconte, celle de la chair des vivants, animée, vidée, emplie, essorée, malmenée par la pensée qui les traverse. Cartographie d'une pensée goulue et mouvante, ce texte sait imposer, dans une langue singulièrement sobre, un concert intérieur. " La pensée me traverse, me marche, me contourne, me circonscrit, me zigzague. La pensée fait ses exercices d'assouplissement avec mes propres articulations. La pensée fait ses besoins aux quatre coins de mes membres. Je suis sous la domination d'une pensée tyrannique. "