Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En cette année 1862, Kate Summerbee mène une vie peu conventionnelle sur le vieux navire à aubes de son père qui cabote dans l'estuaire du Mississippi...
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En cette année 1862, Kate Summerbee mène une vie peu conventionnelle sur le vieux navire à aubes de son père qui cabote dans l'estuaire du Mississippi lorsque, à la veille de ses dix-sept ans, elle croit rencontrer l'homme de sa vie en la personne d'Andrew Oliver, jeune armateur anglais dévoué à la cause sudiste. Un coup de foudre qui est loin d'être réciproque, puisque Andrew s'enfuit à la première occasion.
C'était sans compter sur l'opiniâtreté de Kate qui, à la mort de son père, s'embarque pour l'Angleterre à la recherche de son bel amour perdu. Mais les passions qu'elle y vivra seront bien différentes de celles qu'elle imaginait, et déclencheront une violente rivalité entre deux hommes, Andrew Oliver et son père Adam Gaunt.
Dans La douceur de l'exil, comme dans son précédent roman, Par vents et marées (dont on retrouve d'ailleurs ici certains personnages), Alison McLeay nous prouve sa maîtrise des grandes fresques où les passions se déchaînent au coeur des forces de la nature, dans un style romanesque de sensibilité frémissante.