La dernière écriture du simplicié

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Matthieu Messagier - La dernière écriture du simplicié.
Matthieu Messagier s’est imposé depuis les années 1970 comme l’auteur d’une œuvre singulière marquée par une syntaxe brisée et un sens de... Lire la suite
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Résumé

Matthieu Messagier s’est imposé depuis les années 1970 comme l’auteur d’une œuvre singulière marquée par une syntaxe brisée et un sens de la vitesse qui, décuplant la force sonore du vers comme sa souplesse rythmique, pulvérise l’immédiateté d’un sens univoque au profit d’un kaléidoscope de sensations. La Dernière écriture du simplicité prolonge cette démarche unique dans la poésie contemporaine francophone.
Matthieu Messagier, immobilisé dans un moulin, isolé dans une forêt à laquelle il appartient, sans Internet, convoque des trains sans destination face aux hordes déchaînées du réel. Il donne la fièvre aux mots pour envoûter la suffisance d’une époque gavée de spiritualités erronées. L’immobilité complète propose les vies les plus expansives. Pour lui, le voyage à dix mètres est le plus long du monde.

Caractéristiques

  • Date de parution
    28/03/2013
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-85920-927-8
  • EAN
    9782859209278
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    123 pages
  • Poids
    0.165 Kg
  • Dimensions
    14,1 cm × 20,5 cm × 1,1 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Matthieu Messagier

Matthieu Messagier, héritier désinvolte d’Alfred Jarry ou d’Arthur Cravan, est né dans le Doubs en 1949. Très jeune, auteur prolixe, il publie chez Jean-Jacques Pauvert, Christian Bourgois et Pierre Seghers. En 1971, avec entre autres Michel Bulteau et Zéno Bianu, il cosigne le Manifeste électrique aux paupières de jupes (Le Soleil Noir). En 1974, il est l’une des principales révélations de l’anthologie La Nouvelle Poésie française (Seghers) de Bernard Delvaille.
De 1972 à 1979, il voyage en hobo beatnik dans toute l’Europe. En 1980, rattrapé par une maladie neuromusculaire, il s’installe définitivement dans son « pays de Trêles », mythique et introuvable. Renaud Ego lui a dédié le livre Matthieu Messagier, L’arpent du poème dépasse l’année-lumière (Jean-Michel Place). Nicola Sornaga lui a consacré en 2004 le long métrage Le Dernier des immobiles (édition en DVD chez Choses vues, 2007), salué par Nanni Moretti (« Un film pour l’immense minorité.
») et par André S. Labarthe (« Un vrai film surréaliste entre L’Âge d’or et Notre-Dame des Turcs. »). Parmi les derniers livres parus de Matthieu Messagier : Poésie 1964-1974, la compil (Flammarion, 2000), Les Grands Poèmes Faux (Flammarion, 2000), Géologie historique et autres poèmes (Christian Bourgois, 2002), Les Transfigurations (Le Castor Astral, 2004), Fond de troisième œil (Flammarion, 2005), Notes du dehors (Léo Scheer, 2005), Une sorte d’indicible petit discours poétique et ridicule (Aencrages & Co, 2008), L’Épée sans trève (La Différence, 2008), Images du monde (Fagès, 2009), Sorbets et sentiments (Le Castor Astral, 2009), Poèmes sans tain (Flammarion, 2010), La Mue du vide s’entretient avec l’espace (Aencrages & Co, 2011), Le Journal perdu de Littera Lord de la bijouterie et Un paralogue futural (avec Malek Abbou, Impeccables éditeur, 2012).

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