Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La première partie du XIXe siècle voit l'émergence d'une catégorie sociale non identifiée : la petite bourgeoisie. Dans le diptyque très kafkaïen...
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Résumé
La première partie du XIXe siècle voit l'émergence d'une catégorie sociale non identifiée : la petite bourgeoisie. Dans le diptyque très kafkaïen que présente ce seizième volume de La Comédie humaine, Balzac lui donne ses lettres de noblesse. Il surexpose, avec délectation, ses raisons d'agir et ses façons de dire - inquiétantes, dérisoires, souvent pathétiques. Les Employés et Les Petits Bourgeois la montrent à l'œuvre, intrigante, au bureau ou en famille. De là un romanesque nouveau, paradoxal, aux antipodes du romantisme déclinant, attentif aux affres de la bêtise et à " la puissance de petitesse ".