Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'auteur s'approche du demi-siècle vécu dans la Franc-Maçonnerie, dont il tient le message authentique comme une voie de compréhension et de perfectionnement...
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L'auteur s'approche du demi-siècle vécu dans la Franc-Maçonnerie, dont il tient le message authentique comme une voie de compréhension et de perfectionnement pour l'humanité. C'est pourquoi il est atterré de constater combien le détournement de ce message, par des institutions maçonniques elles-mêmes - dont l'une est nommément désignée - a vidé de tout son sens un Ordre dont il prétend qu'il est sur terre le reflet du royaume céleste. Ce dévoiement, il l'attribue à un entrisme politique particulier et forcené, conduit par des hommes dont l'appartenance maçonnique n'est qu'un déguisement, sous couvert duquel ils tentent d'assouvir leurs ambitions idéologiques. Si bien que le Temple, dit-il, se trouve profané par des usurpateurs et tricheurs qui, Janus des temps modernes, clament des grands mots d'amour, de tolérence et de liberté de conscience, en pratiquant la calomnie, le sectarisme et l'exclusion. Cette situation condamne la Franc-Maçonnerie française à vivre les mêmes maux qui sévissent dans la rue, où le non respect de pensées jugées " politiquement correctes " conduit des hommes honnêtes au banc de l'infamie. Parallèlement, l'auteur tout en défendant des valeurs qu'il estime inhérentes au fait maçonnique, s'interroge sur un mouvement politique qui, bien que se disant protecteur de ces mêmes valeurs, ne manque pas, souvent, de pourfendre la Franc-Maçonnerie au moyen d'arguments dont le souvenir est lié aux sombres heures du dernier conflit mondial. L'auteur en appelle à une vision plus sereine et plus vraie, en souhaitant qu'elle donne de la Franc-Maçonnerie une image plus authentique, tant à l'homme de la rue qu'aux Francs-Maçons eux-mêmes.