Coup de coeur
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  • Nombre de pages336
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.25 kg
  • Dimensions11,5 cm × 17,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-84304-796-1
  • EAN9782843047961
  • Date de parution04/05/2017
  • ÉditeurZulma
  • TraducteurCatherine Eyjólfsson

Résumé

En ce ténébreux mois de novembre, la narratrice voit son mari la quitter sans préavis et sa meilleure amie lui confier son fils de quatre ans. Qu'à cela ne tienne, elle partira pour un tour de son île noire, seule avec Tumi, étrange petit bonhomme, presque sourd, avec de grosses loupes en guise de lunettes. Avec un humour fantasque et une drôlerie décapante, l'Embellie ne cesse de nous enchanter par cette relation cocasse, de plus en plus attentive, émouvante entre la voyageuse et son minuscule passager.
Ainsi que par sa façon incroyablement libre et allègre de prendre les fugaces, burlesques et parfois dramatiques péripéties de la vie, et de la vie amoureuse, sur fond de blessure originelle. Et l'on se glisse dans l'Embellie avec le même bonheur immense que dans Rosa candida, en une sorte d'exultation complice qui ne nous quitte plus.
En ce ténébreux mois de novembre, la narratrice voit son mari la quitter sans préavis et sa meilleure amie lui confier son fils de quatre ans. Qu'à cela ne tienne, elle partira pour un tour de son île noire, seule avec Tumi, étrange petit bonhomme, presque sourd, avec de grosses loupes en guise de lunettes. Avec un humour fantasque et une drôlerie décapante, l'Embellie ne cesse de nous enchanter par cette relation cocasse, de plus en plus attentive, émouvante entre la voyageuse et son minuscule passager.
Ainsi que par sa façon incroyablement libre et allègre de prendre les fugaces, burlesques et parfois dramatiques péripéties de la vie, et de la vie amoureuse, sur fond de blessure originelle. Et l'on se glisse dans l'Embellie avec le même bonheur immense que dans Rosa candida, en une sorte d'exultation complice qui ne nous quitte plus.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
sur 1 avis libraire
FabienDecitre Part-Dieu
5/5
Rigning í nóvember
Le roman nous entraîne sur les routes islandaises en compagnie d'une jeune femme fantasque et d'un petit garçon. La première qui traverse les péripéties loufoques de son quotidien avec un détachement et une liberté rafraichissante, vient de se faire plaquer de manière plutôt rude. Le second se trimballe un attirail sur lequel tout le monde se retourne, entre les appareils contre sa surdité et ses lunettes en cul de bouteille, ce petit lutin est "abandonné" de manière cocasse par une mère célibataire complétement dépassée et sur le point d'accoucher. La complicité qui va naître entre les deux improbables compères est relatée dans une écriture pleine de drôlerie et d'émotion, le périple à travers l'Islande se fait de manière un peu chaotique et les nombreuses rencontres sont autant de refuges et nous font découvrir la vie quotidienne des habitants des landes islandaises. Cette découverte de la maternité est aussi un voyage intérieur au coeur des blessures qui nous accompagnent toujours quelle que soit notre destination, on se souvient que ce même thème, côté paternité, est aussi aborder dans son roman suivant, le magnifique Rosa Candida. On trouve en fin d'ouvrage une annexe amusante, pleine de malice : « Quarante-sept recettes de cuisine et une de tricot ».
Le roman nous entraîne sur les routes islandaises en compagnie d'une jeune femme fantasque et d'un petit garçon. La première qui traverse les péripéties loufoques de son quotidien avec un détachement et une liberté rafraichissante, vient de se faire plaquer de manière plutôt rude. Le second se trimballe un attirail sur lequel tout le monde se retourne, entre les appareils contre sa surdité et ses lunettes en cul de bouteille, ce petit lutin est "abandonné" de manière cocasse par une mère célibataire complétement dépassée et sur le point d'accoucher. La complicité qui va naître entre les deux improbables compères est relatée dans une écriture pleine de drôlerie et d'émotion, le périple à travers l'Islande se fait de manière un peu chaotique et les nombreuses rencontres sont autant de refuges et nous font découvrir la vie quotidienne des habitants des landes islandaises. Cette découverte de la maternité est aussi un voyage intérieur au coeur des blessures qui nous accompagnent toujours quelle que soit notre destination, on se souvient que ce même thème, côté paternité, est aussi aborder dans son roman suivant, le magnifique Rosa Candida. On trouve en fin d'ouvrage une annexe amusante, pleine de malice : « Quarante-sept recettes de cuisine et une de tricot ».

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.7/5
sur 36 notes dont 16 avis lecteurs
critique
L'histoire commence par un dialogue de sourds et un divorce et se continue par un voyage. L'héroïne a la garde du garçon sourd de sa voisine, enceinte. Avec lui, elle part en vacances et c'est l'occasion, pour elle, de se découvrir, de s'apprivoiser, d'apprendre à prendre soin d'une autre personne qu'elle-même. L'auteur nous donne sa réflexion sur la vie, le couple, les relations hommes/femmes. Ce livre agréable à lire quoique long est un hymne à la vie, au hasard, à la rencontre et à l'amour.
L'histoire commence par un dialogue de sourds et un divorce et se continue par un voyage. L'héroïne a la garde du garçon sourd de sa voisine, enceinte. Avec lui, elle part en vacances et c'est l'occasion, pour elle, de se découvrir, de s'apprivoiser, d'apprendre à prendre soin d'une autre personne qu'elle-même. L'auteur nous donne sa réflexion sur la vie, le couple, les relations hommes/femmes. Ce livre agréable à lire quoique long est un hymne à la vie, au hasard, à la rencontre et à l'amour.
  • Inattendu
  • Emouvant
  • XXe siècle
  • Amour
  • voyage
  • Bouleversant
Sarcastique
Notre narratrice prend la vie avec humour et nous fait souvent sourire. J'y ai retrouvé le sourire qu'affiche Audur Ava Ólafsdóttir dans la vie. Cette femme déborde de joie de vivre. Cet humour m'a beaucoup plu, d'autant qu'il est porté par de belles phrases et les personnages sont touchants. Mais comme dans Rosa Candida, je déplore quelques moments d'ennui. Je me suis servi de ce roman pour décourager mon mari qui souhaite aller en Islande (à dire vrai, je serais ravie de l'accompagner mais pas pendant nos vacances d'été).
Notre narratrice prend la vie avec humour et nous fait souvent sourire. J'y ai retrouvé le sourire qu'affiche Audur Ava Ólafsdóttir dans la vie. Cette femme déborde de joie de vivre. Cet humour m'a beaucoup plu, d'autant qu'il est porté par de belles phrases et les personnages sont touchants. Mais comme dans Rosa Candida, je déplore quelques moments d'ennui. Je me suis servi de ce roman pour décourager mon mari qui souhaite aller en Islande (à dire vrai, je serais ravie de l'accompagner mais pas pendant nos vacances d'été).
Relecture !
La narratrice de ce roman, (jamais nommée au cours du livre) traductrice trentenaire un peu dépassée par la vie, réagit à peine lorsque le même jour, son amant lui signifie la fin de leur relation et son mari la quitte… Mais trois semaines après qu'il soit parti « avec le matelas ergonomique du lit conjugal, le matériel de camping et dix cartons de livres » elle n'est plus tout à fait la même, et ces trois semaines constituent la trame de ce roman léger et pétillant. Trois semaines où elle s'est vue confier la garde de Tumi, un petit garçon sourd de quatre ans, où elle a gagné deux fois à la loterie, où elle a eu affaire à différents animaux morts, où elle a entrepris un périple autour de l'Islande sous la pluie de novembre, où elle a fait de nombreuses rencontres… Il faut parfois laisser une deuxième chance à un livre. Voici ma conclusion après la lecture de L'Embellie. Je l'avais en effet emprunté à la bibliothèque et commencé en novembre, mais la narratrice un peu agaçante et l'histoire trop loufoque avaient eu raison de moi, et je l'avais rendu sans le finir. Pourtant, quand le père Noël me l'a apporté, (merci, merci !) je l'ai recommencé avec plaisir, et, allez comprendre, en relisant les mêmes pages avec un tout autre sentiment sur les personnages. Cette fois, je me suis laissée emporter sans m'attacher à repérer les comportements irrationnels de la narratrice, et j'ai aimé la fantaisie de l'histoire, jusqu'à en percevoir finalement la profondeur. En effet, beaucoup de choses restent non-dites, notamment ce qui s'est passé au moment des quinze ans de la jeune femme, mais l'on devine petit à petit et cela explique très largement sa personnalité. Les relations originales entre les différentes personnes, le voyage sur les routes islandaises balayées par la pluie, le petit garçon tranquille et plein de sagacité, la réflexion empreinte de légèreté sur la maternité, tout concourt à en faire un moment de lecture agréable. Il s'en dégage une philosophie de la vie originale et pleine d'humour. Bien sûr, ce livre n'a pas l'attrait de la nouveauté qu'avait Rosa candida que j'avais repéré pratiquement dès sa sortie en 2010, mais il est très savoureux tout de même. Sachant qu'il s'agit d'un roman qui précède Rosa candida, contrairement à l'ordre de traduction en français, rien d'étonnant à ce qu'il soit un petit peu moins bien « ficelé ». Ce sont aussi ses imperfections, quelques petites longueurs, quelques traits de caractère un peu flous, qui font son charme. Sans oublier les recettes qui sont regroupées à la fin, et où l'on retrouve l'humour bien particulier qui éclaire très joliment la grisaille de novembre de ce périple islandais.
La narratrice de ce roman, (jamais nommée au cours du livre) traductrice trentenaire un peu dépassée par la vie, réagit à peine lorsque le même jour, son amant lui signifie la fin de leur relation et son mari la quitte… Mais trois semaines après qu'il soit parti « avec le matelas ergonomique du lit conjugal, le matériel de camping et dix cartons de livres » elle n'est plus tout à fait la même, et ces trois semaines constituent la trame de ce roman léger et pétillant. Trois semaines où elle s'est vue confier la garde de Tumi, un petit garçon sourd de quatre ans, où elle a gagné deux fois à la loterie, où elle a eu affaire à différents animaux morts, où elle a entrepris un périple autour de l'Islande sous la pluie de novembre, où elle a fait de nombreuses rencontres… Il faut parfois laisser une deuxième chance à un livre. Voici ma conclusion après la lecture de L'Embellie. Je l'avais en effet emprunté à la bibliothèque et commencé en novembre, mais la narratrice un peu agaçante et l'histoire trop loufoque avaient eu raison de moi, et je l'avais rendu sans le finir. Pourtant, quand le père Noël me l'a apporté, (merci, merci !) je l'ai recommencé avec plaisir, et, allez comprendre, en relisant les mêmes pages avec un tout autre sentiment sur les personnages. Cette fois, je me suis laissée emporter sans m'attacher à repérer les comportements irrationnels de la narratrice, et j'ai aimé la fantaisie de l'histoire, jusqu'à en percevoir finalement la profondeur. En effet, beaucoup de choses restent non-dites, notamment ce qui s'est passé au moment des quinze ans de la jeune femme, mais l'on devine petit à petit et cela explique très largement sa personnalité. Les relations originales entre les différentes personnes, le voyage sur les routes islandaises balayées par la pluie, le petit garçon tranquille et plein de sagacité, la réflexion empreinte de légèreté sur la maternité, tout concourt à en faire un moment de lecture agréable. Il s'en dégage une philosophie de la vie originale et pleine d'humour. Bien sûr, ce livre n'a pas l'attrait de la nouveauté qu'avait Rosa candida que j'avais repéré pratiquement dès sa sortie en 2010, mais il est très savoureux tout de même. Sachant qu'il s'agit d'un roman qui précède Rosa candida, contrairement à l'ordre de traduction en français, rien d'étonnant à ce qu'il soit un petit peu moins bien « ficelé ». Ce sont aussi ses imperfections, quelques petites longueurs, quelques traits de caractère un peu flous, qui font son charme. Sans oublier les recettes qui sont regroupées à la fin, et où l'on retrouve l'humour bien particulier qui éclaire très joliment la grisaille de novembre de ce périple islandais.
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