Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Dans le sillage de Giraudoux et de Mac Orlan et en toute complicité avec Kléber Haedens et Denis Lalanne, le plus beau styliste français de l'après-guerre...
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Dans le sillage de Giraudoux et de Mac Orlan et en toute complicité avec Kléber Haedens et Denis Lalanne, le plus beau styliste français de l'après-guerre a écrit sur le rugby des pages d'anthologie. Antoine Blondin aura aimé, d'amour tendre et désespéré, la littérature, l'amitié et le sport. Surtout le rugby, amour tardif, mais qui le conduisit à chroniquer des matches du Tournoi, ou du Championnat ; ou bien à digresser sur l'essence britannique de ce jeu. On retrouve au fil de ce florilège ses héros de légende - Dauga, Prat, les frères Boniface, Mias, Rives -, des considérations sur le jeu dur, une nouvelle cocasse de Quat' saisons où l'on reconnaît Guy Boniface, une séquence de Monsieur jadis, restée fameuse, où, accompagné de Roger Nimier, le narrateur se rend à Twickenham pour assister à un France-Angleterre... dans un pub, à cent mètres du stade. Mais en se levant au moment des hymnes pour entonner La Marseillaise.
Dans le sillage de Giraudoux et de Mac Orlan et en toute complicité avec Kléber Haedens et Denis Lalanne, le plus beau styliste français de l'après-guerre a écrit sur le rugby des pages d'anthologie. Florilège...