Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
"... Il n'y aurait aucun lien entre l'homme et le poète Mazilescu - écrit Virgil Mazilescu dans son Journal en rapportant des propos tenus à son égard...
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Résumé
"... Il n'y aurait aucun lien entre l'homme et le poète Mazilescu - écrit Virgil Mazilescu dans son Journal en rapportant des propos tenus à son égard - (mais S. Larian, la dernière qui m'ait dit cela, s'est dédite aussitôt : " il me semble quand même, si j'y pense vraiment, que vous deux êtes une seule et même personne "). " Ce qui reste sous forme d'écrit : des chroniques littéraires, un journal circonstanciel qui décline sur quelques mois le récit d'une crise sentimentale. Et quatre recueils de poèmes qui trouent sans retour la surface du langage. " Voilà ce qu'il me plaît de croire au sujet de la photographie, écrivait Virgil Mazilescu dans un article de 1971 intitulé Le découpage de l'espace en noir et blanc : bien plus que la surprise, que la copie d'une séquence qui serait dès l'origine belle en soi, c'est bien l'interprétation, le sous-texte lyrique, je veux dire l'intention qui a présidé au geste purement technique, qui peut aboutir à des réalisations dignes d'intérêt, à la sphère de l'art en ultime instance. " C'est par ce " sous-texte lyrique " et comme en dépit des " intentions " que les poèmes ici rassemblés touchent à la vie, abritent et restituent une émotion intacte et rare.