Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le grand écrivain iranien (on l'a comparé à Poe, à Kafka) mort à Paris en 1951 et qu'ont salué André Breton et Henry Miller est enfin à l'honneur...
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Résumé
Le grand écrivain iranien (on l'a comparé à Poe, à Kafka) mort à Paris en 1951 et qu'ont salué André Breton et Henry Miller est enfin à l'honneur dans les librairies de langue française : une demi-douzaine d'ouvrages de sa main ont paru en traduction ces dernières années, et l'on vient enfin à lui reconnaître publiquement la place qu'il n'a jamais cessé d'occuper en secret - au premier rang des esprits les mieux dérangeants de ce siècle.
Publié en 1945, jamais traduit à ce jour, le " roman " de Hâdji Aghâ, que les iraniens cultivés d'aujourd'hui lisent, en cachette, passe pour une sorte de Tartuffe nationale. On s'explique, à goûter cette merveille d'impertinence ravageuse, que les ayatollahs veillent à ne pas en encourager la diffusion.