Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La dépense est-elle possible ? Telle était la question que Georges Bataille rencontra dans les premières années de guerre, et qui le conduisit à...
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Résumé
La dépense est-elle possible ? Telle était la question que Georges Bataille rencontra dans les premières années de guerre, et qui le conduisit à renverser radicalement ses réflexions passées. Après avoir constaté l'impossibilité de la dépense, il passe en effet - grâce à Maurice Blanchot - de la " volonté de perte " à la " volonté de chance ", et cherche moins à réaliser la dépense qu'à la laisser se réaliser d'elle-même. L'écriture, bien étrange, de La Somme athéologigue doit par ailleurs se comprendre en fonction de ce changement de perspective : pour rester fidèle à la " volonté de chance ", Bataille se trouvait à la fois devant l'interdiction et l'obligation d'écrire, semblable ainsi à 1'" écrivain " que décrit Blanchot dans " De l'angoisse au langage ". Le présent essai, qui met en relief ces " drames " ayant eu lieu chez Bataille durant la Seconde Guerre mondiale, tente par la suite d'analyser ses textes post-athéologiques et littéraires.