En finir avec la nature. Le lien ou l'absence de lien avec la nature, voilà le point crucial !
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- Nombre de pages318
- PrésentationBroché
- Poids0.645 kg
- Dimensions15,5 cm × 22,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-86985-187-0
- EAN9782869851870
- Date de parution05/06/2008
- CollectionLa pensée écologique
- ÉditeurSang de la Terre
- PréfacierMonique Cazeaux
Résumé
La destruction de la Nature se poursuit. En finir avec la mature, voilà le maître mot des adorateurs de la déesse modernité. Pour parvenir à ce but, la fin justifie les moyens, qui sont tous bons. Des floraisons sauvages se retrouvent " mises en valeur " par des parkings... Car le fil directeur de tout ce remue-ménage, c'est que si on liquide la Nature, c'est pour son bien... La critique exercée contre les méthodes de la conservation de la Nature a conduit celle-ci à se sentir sur la défensive. Et de ce fait à dévoiler ses véritables objectifs qui ne sont aucunement la préservation. On a pu croire quelquefois que les ratés de la protection étaient dus aux difficultés, au manque d'information concernant les rouages intimes psychologiques de la société, à une certaine improvisation excusable. Il faut espérer que ce soit encore partiellement vrai, car ce qui se dévoile, grâce à la controverse, dans les intentions de la protection officielle a de quoi faire froid dans le dos.
La destruction de la Nature se poursuit. En finir avec la mature, voilà le maître mot des adorateurs de la déesse modernité. Pour parvenir à ce but, la fin justifie les moyens, qui sont tous bons. Des floraisons sauvages se retrouvent " mises en valeur " par des parkings... Car le fil directeur de tout ce remue-ménage, c'est que si on liquide la Nature, c'est pour son bien... La critique exercée contre les méthodes de la conservation de la Nature a conduit celle-ci à se sentir sur la défensive. Et de ce fait à dévoiler ses véritables objectifs qui ne sont aucunement la préservation. On a pu croire quelquefois que les ratés de la protection étaient dus aux difficultés, au manque d'information concernant les rouages intimes psychologiques de la société, à une certaine improvisation excusable. Il faut espérer que ce soit encore partiellement vrai, car ce qui se dévoile, grâce à la controverse, dans les intentions de la protection officielle a de quoi faire froid dans le dos.