Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Il est toujours étrange et parfois douloureux de retrouver le cadre de son enfance. Soucieuse d'éviter " l'immeuble de briques rouges " du huis clos...
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Il est toujours étrange et parfois douloureux de retrouver le cadre de son enfance. Soucieuse d'éviter " l'immeuble de briques rouges " du huis clos familial, avec ses secrets et ses drames, Marie Sizun nous mène par les rues, pour elle si familières, du XXe arrondissement de Paris, de la porte des Lilas à la place des Fêtes. Surgissent alors les souvenirs en autant d'éclats lumineux, qui ressuscitent le Paris des années 1950 et disent les émotions et les rêves qui font passer de l'enfance à l'adolescence et orientent définitivement les choix de l'adulte. Ce récit authentique et poignant, mais toujours retenu, Marie Sizun l'a conçu comme un roman, et il se lit comme un roman.
Après le succès du Père de la petite en 2005, La Femme de l'Allemand en 2007, prix des lectrices de ELLE, et du Télégramme, jeux croisés en 2009, Marie Sizun publie avec Éclats d'enfance son quatrième livre.