","offers":{"@type":"Offer","priceCurrency":"EUR","price":7.6,"url":"/livres/des-vies-d-oiseaux-9782290041925.html","availability":"https://schema.org/InStock"},"datePublished":"2013-08-21","isbn":"978-2-290-04192-5","publisher":{"@type":"Organization","name":"J'ai lu"},"author":{"@type":"Person","name":"Véronique Ovaldé","url":"/auteur/294380/véronique+ovaldé"},"aggregateRating":{"@type":"AggregateRating","ratingValue":"3.5","ratingCount":"5"},"review":[{"@type":"Review","author":{"@type":"Person","name":"cycy"},"reviewRating":{"@type":"Rating","ratingValue":"3"},"reviewBody":"Très belle écriture... j'ai bien aimé ce livre, mais j'ai largement préféré \"Ce que je sais de Vera Candida\". On retrouve l'exotisme, le rêve, la profondeur des sentiments. "},{"@type":"Review","author":{"@type":"Person","name":"zazy "},"reviewRating":{"@type":"Rating","ratingValue":"4"},"reviewBody":"Izzara appelle la police suite à l’intrusion d’inconnus dans sa maison lors de leur absence, mais rien n’a été volé. Taïbo, au bout du fil ira le lendemain chez eux.\r\nVida s’ennuie sans le savoir tout en le sachant dans sa maison sur la colline, un quartier « résidentiel » de Villanueva. Déjà les maisons récentes se fendillent. Est-ce un signe précurseur de la vie familiale des Izzara ? L’izzara, chez nous, aide à la digestion ou permet de clôturer un repas dans le plaisir. Chez eux, c’est l’ennui, le silence. La maison ultra moderne, dont les fenêtres ne s’ouvrent pas, est froide et glaçante et ce n’est pas seulement dû à la climatisation poussée à fond. La chaleur familiale est absente de cette maison. Le père « travaille et subvient aux besoins de la famille », je ne suis pas certaine que Vida ne se soit jamais sentie à l’aise dans son rôle de potiche bouseuse. Quant à Paloma, elle n’a rien de la colombe. Aucune discussion, chacun s’enferme. Les accidents de la vie vont faire éclater la bulle. Paloma rencontre Adolfo, jardinier engagé par Vida (mais est-ce bien elle qui l’a fait ?) et tout explose, Paloma s’enfuit.\r\nToujours est-il que nous passons de la colline, où elle habite, à la terre d’en bas, où elle est née. Sa fille fera le chemin inverse avec la même passion. De la richesse à la pauvreté, de l’élégance et la bonne éducation, à la sauvagerie.\r\n\r\nLa scène d’amour entre Taïbo et Vida es très belle et douce. « Taïbo sentait les cascades et les marécages, la mangrove et la roche rouge du désert, il sentait la selle des chevaux, il sentait Liberty Valence et la tristesse chilienne il sentait les pays que l’on quitte et le cuir qui s’est patiné » Comment ne pas tomber en pamoison devant un tel homme !!\r\nLe chapitre sur le voyage « initiatique » !! d’Adolfo décidé par son père. D’un coup d’un seul, il décide d’emmener son fils à la chasse au bison sauvage dans le froid et la neige. Un chapitre dur et rude, à l’image de l’enfance d’Adolfo et de la folie de son père. \r\nVéronique Ovaldé continue d’explorer la confrontation riche-pauvre, enfant-parents, certaines fois avec beaucoup de dérision. « Vida se lève de la table durant la soirée et, en passant dans le couloir, elle aperçoit son reflet dans le miroir. Ce qui lui crée un léger choc. Elle se sent ridicule dans ses voiles verts, on dirait une Grace Kelly inconsolable, l'une de ces femmes qui boivent trop de gin tonic dans les films brésiliens des années soixante. »\r\nUn roman à déguster, très ovaldien. L’enquête policière n’est là qu’un support pour parler des liens unissant tous ces êtres, du courage qu’il faut pour changer sa vie et en devenir acteur. Ces vies d’oiseaux sur les branches des arbres, ou genre coucous dans les maisons des autres puis, bâtisseur de son propre nid. \r\nOui, vraiment, un second livre de Véronique Ovaldé que j’ai beaucoup apprécié. Le premier était Ce que je sais de Vera Candida. \r\n"},{"@type":"Review","author":{"@type":"Person","name":"Ness"},"reviewRating":{"@type":"Rating","ratingValue":"4"},"reviewBody":"Roman aux douces senteurs d’Amérique du Sud. Ecriture délicate et juste.\r\n\r\nVoilà les premiers mots qui me viennent à l’esprit quand je parle du nouveau roman de Véronique Olvadé. J’avais déjà été séduite par Vera Candida mais là, je suis complètement subjugué. A la fois par les personnages, l’histoire et surtout l’écriture sans pareil de Véronique Olvadé.\r\n\r\nEn revenant de vacances, le couple Izzara découvre que leur maison à été squattée pendant leur absence. Le lieutenant Taïbo va alors mener l’enquête pour découvrir qui sont les jeunes gens qui occupent les plus belles maisons de la ville pendant l’absence des propriétaires. Mais ce qu’il va découvrir va le conduite bien plus loin que ce qu’il avait imaginé.\r\n\r\nCe nouveau roman, est une nouvelle fois l’occasion pour l’auteur d’explorer les rapports entre les hommes et les femmes mais également les liens qui peuvent unir les personnages les uns aux autres.\r\n\r\nTout est réussi dans ce roman et plus particulièrement à mes yeux l’ambiance sud-américaine qui rythme l’histoire en lui donnant une saveur spéciale. "},{"@type":"Review","author":{"@type":"Person","name":"Elodie "},"reviewRating":{"@type":"Rating","ratingValue":"4"},"reviewBody":"Ce livre m'a semblé facile et rapide à lire grâce à sa structure en courts chapitres. Le récit est assez bien construit et chaque fin de chapitre donne envie de poursuivre la lecture au chapitre suivant. Les personnages se croisent, ce qui renforce l'attendrissement que l'on peut éprouver en découvrant leur vie. Les thèmes de la vie de couple et les relations entre les parents et les enfants sont des sujets inépuisés et contribuent à rendre ce livre touchant. \r\nAussi, certains passages, surtout au début, m'ont amusée. "},{"@type":"Review","author":{"@type":"Person","name":"Florine C."},"reviewRating":{"@type":"Rating","ratingValue":"4"},"reviewBody":"veronique ovaldé nous raconte l'histoire de Vida la mère qui recherche paloma sa fille parti avec le bel adolfo. \r\nsous l'impulsion du policier Taibo, vida va partir à la rencontre de son passé et mieux comprendre sa fille!!\r\nun livre qui parle de liberté, et décrit magnifiquement la complexité des liens mère fille et homme femme!\r\nles personnages se croisent et se fuient, ils recherchent tous une certaine liberté comme celle des oiseaux... un trés beau roman à la fois optimiste et profond!"}]}
Quand sa fille Paloma déserte sans prévenir la somptueuse villa familiale, Vida lzzara croit en deviner la raison : elle serait partie avec son amant vivre une vie moins conventionnelle. Jusqu'au jour où Vida comprend que c'est elle aussi que Paloma fuit. La recherche de sa fille la conduira de l'Irigoy de son enfance aux recoins secrets de son coeur. Les vies d'oiseaux, ce sont celles que mènent quatre personnages dont les trajets se croisent sans cesse, chacun éprouvant sa liberté d'exister.
Quand sa fille Paloma déserte sans prévenir la somptueuse villa familiale, Vida lzzara croit en deviner la raison : elle serait partie avec son amant vivre une vie moins conventionnelle. Jusqu'au jour où Vida comprend que c'est elle aussi que Paloma fuit. La recherche de sa fille la conduira de l'Irigoy de son enfance aux recoins secrets de son coeur. Les vies d'oiseaux, ce sont celles que mènent quatre personnages dont les trajets se croisent sans cesse, chacun éprouvant sa liberté d'exister.
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
veronique ovaldé nous raconte l'histoire de Vida la mère qui recherche paloma sa fille parti avec le bel adolfo.
sous l'impulsion du policier Taibo, vida va partir à la rencontre de son passé et mieux comprendre sa fille!!
un livre qui parle de liberté, et décrit magnifiquement la complexité des liens mère fille et homme femme!
les personnages se croisent et se fuient, ils recherchent tous une certaine liberté comme celle des oiseaux... un trés beau roman à la fois optimiste et profond!
veronique ovaldé nous raconte l'histoire de Vida la mère qui recherche paloma sa fille parti avec le bel adolfo.
sous l'impulsion du policier Taibo, vida va partir à la rencontre de son passé et mieux comprendre sa fille!!
un livre qui parle de liberté, et décrit magnifiquement la complexité des liens mère fille et homme femme!
les personnages se croisent et se fuient, ils recherchent tous une certaine liberté comme celle des oiseaux... un trés beau roman à la fois optimiste et profond!
Emouvant
Dépaysant
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
Très belle écriture... j'ai bien aimé ce livre, mais j'ai largement préféré "Ce que je sais de Vera Candida". On retrouve l'exotisme, le rêve, la profondeur des sentiments.
Très belle écriture... j'ai bien aimé ce livre, mais j'ai largement préféré "Ce que je sais de Vera Candida". On retrouve l'exotisme, le rêve, la profondeur des sentiments.
Izzara appelle la police suite à l’intrusion d’inconnus dans sa maison lors de leur absence, mais rien n’a été volé. Taïbo, au bout du fil ira le lendemain chez eux.
Vida s’ennuie sans le savoir tout en le sachant dans sa maison sur la colline, un quartier « résidentiel » de Villanueva. Déjà les maisons récentes se fendillent. Est-ce un signe précurseur de la vie familiale des Izzara ? L’izzara, chez nous, aide à la digestion ou permet de clôturer un repas dans le plaisir. Chez eux, c’est l’ennui, le silence. La maison ultra moderne, dont les fenêtres ne s’ouvrent pas, est froide et glaçante et ce n’est pas seulement dû à la climatisation poussée à fond. La chaleur familiale est absente de cette maison. Le père « travaille et subvient aux besoins de la famille », je ne suis pas certaine que Vida ne se soit jamais sentie à l’aise dans son rôle de potiche bouseuse. Quant à Paloma, elle n’a rien de la colombe. Aucune discussion, chacun s’enferme. Les accidents de la vie vont faire éclater la bulle. Paloma rencontre Adolfo, jardinier engagé par Vida (mais est-ce bien elle qui l’a fait ?) et tout explose, Paloma s’enfuit.
Toujours est-il que nous passons de la colline, où elle habite, à la terre d’en bas, où elle est née. Sa fille fera le chemin inverse avec la même passion. De la richesse à la pauvreté, de l’élégance et la bonne éducation, à la sauvagerie.
La scène d’amour entre Taïbo et Vida es très belle et douce. « Taïbo sentait les cascades et les marécages, la mangrove et la roche rouge du désert, il sentait la selle des chevaux, il sentait Liberty Valence et la tristesse chilienne il sentait les pays que l’on quitte et le cuir qui s’est patiné » Comment ne pas tomber en pamoison devant un tel homme !!
Le chapitre sur le voyage « initiatique » !! d’Adolfo décidé par son père. D’un coup d’un seul, il décide d’emmener son fils à la chasse au bison sauvage dans le froid et la neige. Un chapitre dur et rude, à l’image de l’enfance d’Adolfo et de la folie de son père.
Véronique Ovaldé continue d’explorer la confrontation riche-pauvre, enfant-parents, certaines fois avec beaucoup de dérision. « Vida se lève de la table durant la soirée et, en passant dans le couloir, elle aperçoit son reflet dans le miroir. Ce qui lui crée un léger choc. Elle se sent ridicule dans ses voiles verts, on dirait une Grace Kelly inconsolable, l'une de ces femmes qui boivent trop de gin tonic dans les films brésiliens des années soixante. »
Un roman à déguster, très ovaldien. L’enquête policière n’est là qu’un support pour parler des liens unissant tous ces êtres, du courage qu’il faut pour changer sa vie et en devenir acteur. Ces vies d’oiseaux sur les branches des arbres, ou genre coucous dans les maisons des autres puis, bâtisseur de son propre nid.
Oui, vraiment, un second livre de Véronique Ovaldé que j’ai beaucoup apprécié. Le premier était Ce que je sais de Vera Candida.
Izzara appelle la police suite à l’intrusion d’inconnus dans sa maison lors de leur absence, mais rien n’a été volé. Taïbo, au bout du fil ira le lendemain chez eux.
Vida s’ennuie sans le savoir tout en le sachant dans sa maison sur la colline, un quartier « résidentiel » de Villanueva. Déjà les maisons récentes se fendillent. Est-ce un signe précurseur de la vie familiale des Izzara ? L’izzara, chez nous, aide à la digestion ou permet de clôturer un repas dans le plaisir. Chez eux, c’est l’ennui, le silence. La maison ultra moderne, dont les fenêtres ne s’ouvrent pas, est froide et glaçante et ce n’est pas seulement dû à la climatisation poussée à fond. La chaleur familiale est absente de cette maison. Le père « travaille et subvient aux besoins de la famille », je ne suis pas certaine que Vida ne se soit jamais sentie à l’aise dans son rôle de potiche bouseuse. Quant à Paloma, elle n’a rien de la colombe. Aucune discussion, chacun s’enferme. Les accidents de la vie vont faire éclater la bulle. Paloma rencontre Adolfo, jardinier engagé par Vida (mais est-ce bien elle qui l’a fait ?) et tout explose, Paloma s’enfuit.
Toujours est-il que nous passons de la colline, où elle habite, à la terre d’en bas, où elle est née. Sa fille fera le chemin inverse avec la même passion. De la richesse à la pauvreté, de l’élégance et la bonne éducation, à la sauvagerie.
La scène d’amour entre Taïbo et Vida es très belle et douce. « Taïbo sentait les cascades et les marécages, la mangrove et la roche rouge du désert, il sentait la selle des chevaux, il sentait Liberty Valence et la tristesse chilienne il sentait les pays que l’on quitte et le cuir qui s’est patiné » Comment ne pas tomber en pamoison devant un tel homme !!
Le chapitre sur le voyage « initiatique » !! d’Adolfo décidé par son père. D’un coup d’un seul, il décide d’emmener son fils à la chasse au bison sauvage dans le froid et la neige. Un chapitre dur et rude, à l’image de l’enfance d’Adolfo et de la folie de son père.
Véronique Ovaldé continue d’explorer la confrontation riche-pauvre, enfant-parents, certaines fois avec beaucoup de dérision. « Vida se lève de la table durant la soirée et, en passant dans le couloir, elle aperçoit son reflet dans le miroir. Ce qui lui crée un léger choc. Elle se sent ridicule dans ses voiles verts, on dirait une Grace Kelly inconsolable, l'une de ces femmes qui boivent trop de gin tonic dans les films brésiliens des années soixante. »
Un roman à déguster, très ovaldien. L’enquête policière n’est là qu’un support pour parler des liens unissant tous ces êtres, du courage qu’il faut pour changer sa vie et en devenir acteur. Ces vies d’oiseaux sur les branches des arbres, ou genre coucous dans les maisons des autres puis, bâtisseur de son propre nid.
Oui, vraiment, un second livre de Véronique Ovaldé que j’ai beaucoup apprécié. Le premier était Ce que je sais de Vera Candida.
Roman aux douces senteurs d’Amérique du Sud. Ecriture délicate et juste.
Voilà les premiers mots qui me viennent à l’esprit quand je parle du nouveau roman de Véronique Olvadé. J’avais déjà été séduite par Vera Candida mais là, je suis complètement subjugué. A la fois par les personnages, l’histoire et surtout l’écriture sans pareil de Véronique Olvadé.
En revenant de vacances, le couple Izzara découvre que leur maison à été squattée pendant leur absence. Le lieutenant Taïbo va alors mener l’enquête pour découvrir qui sont les jeunes gens qui occupent les plus belles maisons de la ville pendant l’absence des propriétaires. Mais ce qu’il va découvrir va le conduite bien plus loin que ce qu’il avait imaginé.
Ce nouveau roman, est une nouvelle fois l’occasion pour l’auteur d’explorer les rapports entre les hommes et les femmes mais également les liens qui peuvent unir les personnages les uns aux autres.
Tout est réussi dans ce roman et plus particulièrement à mes yeux l’ambiance sud-américaine qui rythme l’histoire en lui donnant une saveur spéciale.
Roman aux douces senteurs d’Amérique du Sud. Ecriture délicate et juste.
Voilà les premiers mots qui me viennent à l’esprit quand je parle du nouveau roman de Véronique Olvadé. J’avais déjà été séduite par Vera Candida mais là, je suis complètement subjugué. A la fois par les personnages, l’histoire et surtout l’écriture sans pareil de Véronique Olvadé.
En revenant de vacances, le couple Izzara découvre que leur maison à été squattée pendant leur absence. Le lieutenant Taïbo va alors mener l’enquête pour découvrir qui sont les jeunes gens qui occupent les plus belles maisons de la ville pendant l’absence des propriétaires. Mais ce qu’il va découvrir va le conduite bien plus loin que ce qu’il avait imaginé.
Ce nouveau roman, est une nouvelle fois l’occasion pour l’auteur d’explorer les rapports entre les hommes et les femmes mais également les liens qui peuvent unir les personnages les uns aux autres.
Tout est réussi dans ce roman et plus particulièrement à mes yeux l’ambiance sud-américaine qui rythme l’histoire en lui donnant une saveur spéciale.
A propos de Véronique Ovaldé
Véronique Ovaldé, née en 1972, a toujours été attirée par la littérature. Après un BTS édition et des études de lettres, elle publie son premier roman en 2000 aux éditions du Seuil intitulé «Le sommeil du poisson». Depuis elle a publié une dizaine de romans, dabord aux éditions Actes Sud «Les hommes en général me plaisent beaucoup» (2003), «Déloger lanimal» (2005) puis à partir de 2008 aux éditions de lOlivier, tous fort bien accueillis par les lecteurs et la critique. Ainsi «Et mon cur transparent» (2008) est récompensé par le prix France Culture Télérama, tandis que «Ce que je sais de Vera Candida» (2009) reçoit trois prix : le Prix Renaudot des lycéens, le Prix France Télévisions en 2009, et le Grand Prix des lectrices de Elle en 2010. Son dernier ouvrage «Des vies doiseaux» est paru en 2011.