Cours sur la rive sauvage - Grand Format

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Iven Zohar est perdu. Radia, sa femme, l'attire et le fuit, dans un monde de lumières et d'ombres, peuplé de créatures menaçantes. Iven Zohar erre... Lire la suite
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Résumé

Iven Zohar est perdu. Radia, sa femme, l'attire et le fuit, dans un monde de lumières et d'ombres, peuplé de créatures menaçantes. Iven Zohar erre malgré lui dans ce monde inconnu, dont les métamorphoses sont aussi inquiétantes que le nouveau visage de son épouse. Radia n'est plus vraiment Radia. Une lueur de cruauté semble éclairer parfois son regard bienveillant. Mais comment lui résister ? Né en Algérie, Mohammed Dib (1920-2003) est le premier écrivain maghrébin à recevoir, en 1994, le Grand Prix de la Francophonie.
Il est notamment l'auteur de La Grande Maison, Le Métier à tisser et Un été africain, disponibles en Points. "Mohammed Dib est l'un des écrivains qui ont su, à partir de leur identité nationale, s'élever vers une certaine idée de l'universalité". Louis Aragon

Caractéristiques

  • Date de parution
    01/01/1978
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-02-001019-4
  • EAN
    9782020010191
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    160 pages
  • Poids
    0.17 Kg
  • Dimensions
    0,0 cm × 0,0 cm × 0,0 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Mohammed Dib

Mohammed Dib est né à Tlemcen, dans l'ouest algérien. Ville natale à laquelle il rendit hommage dans sa célèbre trilogie : La Grande Maison (1952), L'Incendie (1954) et Le Métier à tisser (1957). Instituteur un temps, puis comptable, traducteur, journaliste à "Alger Républicain" et pour le compte de l'organe du Parti communiste "Liberté", il est finalement expulsé d'Algérie en 1959. Il s'installe en France et commence sa carrière littéraire.
Il est le premier écrivain maghrébin à recevoir, en 1994, le Grand Prix de la Francophonie. Et celui dont Aragon disait : "Cet homme d'un pays qui n'a rien à voir avec les arbres de ma fenêtre, les fleuves de mes quais, les pierres de nos cathédrales, parle avec les mots de Villon et de Péguy". Il est mort chez lui, à La Celle-Saint-Cloud, le 2 mai 2003, à l'âge de 83 ans, laissant derrière lui quelques-unes des plus belles pages de la littérature algérienne.

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