Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Ce n'est pas le Courbet communard qui m'a retenu ici. C'est le Courbet peintre. La manière de Courbet. Ses manières, ses mauvaises manières. Sa grossièreté...
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Résumé
" Ce n'est pas le Courbet communard qui m'a retenu ici. C'est le Courbet peintre. La manière de Courbet. Ses manières, ses mauvaises manières. Sa grossièreté de paysan (de Franche-Comté) mal dégrossi, de plébéien. Qu'il soit devenu communard, d'ailleurs, n'est pas pour étonner. On se moquait de lui : il ignorait les livres, il était sans orthographe. L'école et lui s'étaient très tôt brouillés. Mais Courbet est ailleurs : c'est un peintre-né. Ses manières sont, à tous égards, fort peu académiques. L'Académie ne s'y trompait pas : le Salon le rejeta avec constance. Courbet, c'était un homme énorme : cette hénaurmité, cette outrance, sont indissociables de son personnage tonitruant et de son œuvre scandaleuse, lieu d'une vraie jouissance esthétique et sensuelle. L'animalité n'est jamais loin dès lors qu'on évoque ce peintre. "