Constable

Par : Pierre Wat

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  • Nombre de pages300
  • PrésentationRelié
  • Poids2.295 kg
  • Dimensions26,5 cm × 32,0 cm × 2,7 cm
  • ISBN2-85025-828-8
  • EAN9782850258282
  • Date de parution02/10/2002
  • ÉditeurHazan

Résumé

John Constable reste, cent soixante-cinq ans après sa mort, l'objet d'un malentendu. En Angleterre, après avoir été un artiste mal-aimé, il est devenu un véritable mythe : l'archétype du peintre anglais, celui dont l'œuvre, tel un miroir dans lequel une nation croit se reconnaître, aurait su saisir l'âme nationale de son pays natal. En France, sa réception oscille entre oubli et restriction. Oubli au profit du plus spectaculaire Turner. Restriction, enfin, qui fait souvent hâtivement classer Constable, " le père de notre école de paysage " (Delacroix), du côté du naturalisme. C'est contre ce double écueil, ce double aveuglement que s'est construit cet essai. En accordant une place centrale aux écrits de l'artiste et à leur confrontation avec l'œuvre peint et dessiné, il s'est agi de redonner à John Constable sa place centrale dans le romantisme européen : celle d'un homme qui fut autant un théoricien - à sa manière, empathique, subjective - qu'un praticien. Un homme qui n'eut de cesse, contre les attendus de la critique et les conseils de ses amis, de penser un art nouveau. Un art absolu, capable de révéler la part d'infini qui se cache dans le plus ordinaire des chemins de campagne du Suffolk, " là où personne ne se penche " pour aller l'y relever. À la fin de cet ouvrage est présenté, pour la première fois dans une édition française, le recueil de gravures conçu par Constable autour du Paysage anglais, accompagné des commentaires de planches rédigés par l'artiste.
John Constable reste, cent soixante-cinq ans après sa mort, l'objet d'un malentendu. En Angleterre, après avoir été un artiste mal-aimé, il est devenu un véritable mythe : l'archétype du peintre anglais, celui dont l'œuvre, tel un miroir dans lequel une nation croit se reconnaître, aurait su saisir l'âme nationale de son pays natal. En France, sa réception oscille entre oubli et restriction. Oubli au profit du plus spectaculaire Turner. Restriction, enfin, qui fait souvent hâtivement classer Constable, " le père de notre école de paysage " (Delacroix), du côté du naturalisme. C'est contre ce double écueil, ce double aveuglement que s'est construit cet essai. En accordant une place centrale aux écrits de l'artiste et à leur confrontation avec l'œuvre peint et dessiné, il s'est agi de redonner à John Constable sa place centrale dans le romantisme européen : celle d'un homme qui fut autant un théoricien - à sa manière, empathique, subjective - qu'un praticien. Un homme qui n'eut de cesse, contre les attendus de la critique et les conseils de ses amis, de penser un art nouveau. Un art absolu, capable de révéler la part d'infini qui se cache dans le plus ordinaire des chemins de campagne du Suffolk, " là où personne ne se penche " pour aller l'y relever. À la fin de cet ouvrage est présenté, pour la première fois dans une édition française, le recueil de gravures conçu par Constable autour du Paysage anglais, accompagné des commentaires de planches rédigés par l'artiste.
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