Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Bête noire de tous les écoliers de France, l'empereur à la barbe fleurie (742-814) appartient au panthéon des hommes illustres dont la mémoire reste...
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Bête noire de tous les écoliers de France, l'empereur à la barbe fleurie (742-814) appartient au panthéon des hommes illustres dont la mémoire reste à jamais gravée dans l'esprit des Français. Il y a quelques années encore, ses éclatantes victoires militaires sur tous les fronts et son ambitieux programme de renouveau culturel - cette fameuse Renaissance carolingienne -apparaissaient comme le vernis brillant d'une société que les historiens jugeaient volontiers arriérée et d'une économie stagnante, fermée à tout échange commercial. Une opinion désormais obsolète puisque, selon l'auteur, c'est au contraire l'époque carolingienne qui posa les bases d'un formidable essor démographique et économique qui se concrétisa autour de l'an mille et jeta les ferments de l'Europe moderne. C'est bien à ce titre que le roi des Francs, devenu en 800 l'empereur des Romains, peut être appelé, pour reprendre une expression d'un poète anonyme du IXe siècle, le «père de l'Europe». Une Europe qui, pour la première fois, forme un espace politique, administratif et juridique unitaire, de Hambourg à Naples et de Vienne à Barcelone, avec pour axe commercial le Rhin et les ports de la mer du Nord. Une Europe avec son organisation militaire, sa division du pouvoir, sa bureaucratie et sa fiscalité, mais aussi sa créativité, ses projets intellectuels et ses mécanismes de transmission du savoir. Une Europe, enfin, chrétienne et non plus païenne, latine et germanique, dont nous avons finalement hérité. Professeur d'histoire médiévale à l'Université du sud-est de Vercelli, Alessandro Barbero a publié plusieurs ouvrages sur les institutions médiévales. Doté d'un réel talent de plume, il est auteur de deux romans historiques à succès traduits en français chez Gallimard ("La belle vie ou les aventures de Mr. Pyle, gentilhomme", 1998, "Roman russe", 2002). Son "Charlemagne" a rencontré l'estime du public comme celle de la presse italienne et à reçu le prix Cherasco Storia en 2002.
Professeur d'histoire médiévale à l'Université du Piémont Est de Vercelli, Alessandro Barbero a publié plusieurs ouvrages sur les institutions médiévales. Doté d'un réel talent de plume, il est auteur de deux romans historiques à succès traduits en français chez Gallimard (La belle vie ou les aventures de Mr. Pyle, gentilhomme, 1998 ; Roman russe, 2002). Son Charlemagne a rencontré l'estime du public comme celle de la presse italienne et reçu le prix Cherasco Storia en 2002.