
C'est si triste de mourir à 20 ans. Lettres du soldat Henri Despeyrières 1914-1915
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- Nombre de pages293
- PrésentationBroché
- Poids0.47 kg
- Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-7089-6871-4
- EAN9782708968714
- Date de parution15/02/2007
- CollectionTémoignages pour l'histoire
- ÉditeurPrivat
- PréfacierAndré Bach
Résumé
La découverte de la réalité des premiers affrontements est une épreuve traumatisante. Bientôt, il faut se résigner à une guerre qui semble de plus en plus absurde : " Que c'est malheureux de se tuer entre jeunes hommes de " mourir à vingt ans ", écrit Henri Despeyrières. Ce faisant, il annonce son propre sort puisqu'il figure parmi les disparus de son régiment, en Argonne, le 8 septembre 1915. Il est l'un des 250 000 soldats français dont on n'a jamais retrouvé le corps...
Alexandre Lafon, en présentant les lettres d'Henri Despeyrières, revient sur les traces laissées par les combattants et sur l'écriture de leur expérience. Cette correspondance, témoignage brut non remanié, nous plonge dans la vie quotidienne d'un homme dans la guerre avec l'authentique sincérité et le courage poignant de ceux qui l'ont vécue.
La découverte de la réalité des premiers affrontements est une épreuve traumatisante. Bientôt, il faut se résigner à une guerre qui semble de plus en plus absurde : " Que c'est malheureux de se tuer entre jeunes hommes de " mourir à vingt ans ", écrit Henri Despeyrières. Ce faisant, il annonce son propre sort puisqu'il figure parmi les disparus de son régiment, en Argonne, le 8 septembre 1915. Il est l'un des 250 000 soldats français dont on n'a jamais retrouvé le corps...
Alexandre Lafon, en présentant les lettres d'Henri Despeyrières, revient sur les traces laissées par les combattants et sur l'écriture de leur expérience. Cette correspondance, témoignage brut non remanié, nous plonge dans la vie quotidienne d'un homme dans la guerre avec l'authentique sincérité et le courage poignant de ceux qui l'ont vécue.