Boule de Suif suivie de Mademoiselle Fifi - Poche

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La guerre de 1870 avec ses images de honte et d'horreur interrompt une vie que Maupassant dédiait aux plaisirs. C'est « l'année terrible ». Il voit... Lire la suite
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Résumé

La guerre de 1870 avec ses images de honte et d'horreur interrompt une vie que Maupassant dédiait aux plaisirs. C'est « l'année terrible ». Il voit tout, enregistre tout. Boule de suif en témoignera. Pendant l'occupation, un groupe de bourgeois, deux religieuses et un républicain prennent une diligence pour Dieppe. La présence parmi eux d'une grosse prostituée les dégoûte. À la halte de l'auberge, un officier allemand menace de stopper le convoi tant que la fille n'aura pas couché avec lui.
La mort dans l'âme, craintive et patriote, elle se soumet… Ce récit rend Maupassant célèbre. Fou de joie, Flaubert écrit : « C'est un chef-d'œuvre de composition, de comique, d'observation. »

Caractéristiques

  • Date de parution
    18/07/2007
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-266-17102-1
  • EAN
    9782266171021
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    117 pages
  • Poids
    0.065 Kg
  • Dimensions
    11,0 cm × 17,5 cm × 1,0 cm

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À propos de l'auteur

Guy de Maupassant

Biographie de Guy de Maupassant

Guy de Maupassant (1850-1893). Bien que ne se reconnaissant d'aucune école, Maupassant reste pris dans le courant dominant, celui du réalisme et du naturalisme. Si sa nouvelle Boule de Suif contribue largement au succès du recueil Les Soirées de Médan (1880) organisé par Zola et considéré comme le manifeste du naturalisme, Maupassant refuse tout dogmatisme. Il préfère énoncer des préférences, sans reprendre à son compte les principes idéologiques et littéraires de ceux qui veulent « faire école ».
Dans sa fameuse « préface » de Pierre et Jean, il définit son esthétique fondée sur l'observation minutieuse et l'interprétation personnelle : « Faire vrai consiste donc à donner l'illusion complète du vrai suivant la logique ordinaire des faits, et non à les transcrire servilement dans le pêle-mêle de leur succession. J'en conclus que les Réalistes de talent devraient s'appeler plutôt des Illusionnistes.
»

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