Né à Vichy le 29 août 1881, Valery Larbaud est poète, nouvelliste, romancier et traducteur. Héritier d'une famille fortunée, il parcourt l'Europe à partir de 1898 à grands frais, continent qu'il chante dans Poèmes par un riche amateur ou Ouvres françaises de M. Barnabooth, avant de publier un roman, Fermina Márquez, et un premier recueil de nouvelles (Enfantines). Il fréquente tous les milieux littéraires. Polyglotte, il fait connaître en France des ouvres majeures de la littérature étrangère, dont celles de Samuel Butter et de James Joyce. Devenu aphasique en 1935, il finit sa vie paralysé. Il reçoit le Grand Prix national des Lettres en 1952 et meurt à Vichy en 1957.
Amants, heureux amants. précédé de Beauté, mon beau souci. suivi de Mon plus secret conseil
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- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.28 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 1,5 cm
- ISBN2-07-073414-5
- EAN9782070734146
- Date de parution01/09/1993
- CollectionL'Imaginaire
- ÉditeurGallimard
Résumé
Les trois courts romans ou longues nouvelles qui composent Amants, heureux amants... forment un tout homogène. L'auteur, s'inspirant des grands élégiaques romains pour peindre " la voie de l'homme dans sa jeunesse ", a utilisé beaucoup d'éléments autobiographiques. Et, à travers trois aventures, on retrouve son goût pour la diversité de la femme, et aussi le dépaysement. Ce qui n'empêche pas la nostalgie.
Amants, heureux amants..., écrit au moment où Larbaud s'enthousiasme pour le monologue intérieur de Joyce, donne la parole à un homme jeune, dans un hôtel du midi de la France.
Rompues de plaisir et de champagne, deux jeunes filles dorment dans la chambre voisine. Il a aimé l'une, goûté l'autre, et assisté à leurs mutuelles amours : Tous souvenirs qu'il évoque, cependant qu'il songe à une autre femme, absente, la vraie sans doute.
Rompues de plaisir et de champagne, deux jeunes filles dorment dans la chambre voisine. Il a aimé l'une, goûté l'autre, et assisté à leurs mutuelles amours : Tous souvenirs qu'il évoque, cependant qu'il songe à une autre femme, absente, la vraie sans doute.
Les trois courts romans ou longues nouvelles qui composent Amants, heureux amants... forment un tout homogène. L'auteur, s'inspirant des grands élégiaques romains pour peindre " la voie de l'homme dans sa jeunesse ", a utilisé beaucoup d'éléments autobiographiques. Et, à travers trois aventures, on retrouve son goût pour la diversité de la femme, et aussi le dépaysement. Ce qui n'empêche pas la nostalgie.
Amants, heureux amants..., écrit au moment où Larbaud s'enthousiasme pour le monologue intérieur de Joyce, donne la parole à un homme jeune, dans un hôtel du midi de la France.
Rompues de plaisir et de champagne, deux jeunes filles dorment dans la chambre voisine. Il a aimé l'une, goûté l'autre, et assisté à leurs mutuelles amours : Tous souvenirs qu'il évoque, cependant qu'il songe à une autre femme, absente, la vraie sans doute.
Rompues de plaisir et de champagne, deux jeunes filles dorment dans la chambre voisine. Il a aimé l'une, goûté l'autre, et assisté à leurs mutuelles amours : Tous souvenirs qu'il évoque, cependant qu'il songe à une autre femme, absente, la vraie sans doute.