Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Un homme peut fort bien se montrer bon envers une girafe et si nécessaire la nourrir ; il peut à bon droit la caresser ou lui gratter la tête, même...
Lire la suite
12,00 €
Neuf
Définitivement indisponible
En librairie
Résumé
" Un homme peut fort bien se montrer bon envers une girafe et si nécessaire la nourrir ; il peut à bon droit la caresser ou lui gratter la tête, même si ces bonnes manières nécessitent le secours d'une échelle. Il a tout à fait raison de caresser une girafe ; il ne lui est pas défendu non plus de caresser un palmier. Mais ce n'est pas une raison pour considérer que l'homme a été créé pour le bien du palmier. " Ces réflexions d'une logique implacable figurent dans un essai intitulé " Comment venir à l'aide du golf. " Absurde ? Sûrement pas : Chesterton est un monstre d'intelligence, qui décortique son sujet, le retourne et l'épuise à vous en laisser pantois. Toujours avec une sorte d'humour courroucé, il terrasse le sens commun où qu'il se niche, à propos des Anglais à l'étranger, de la littérature, du bouddhisme, des chants de Noël ou de la prohibition... On peut sans doute lire Jerome K. Jerome tranquillement au coin du feu en souriant. Impossible avec Chesterton : il vous pousse avec le tisonnier... " À bâtons rompus " regroupe quarante-deux propos parus à partir de 1927 pendant une année dans le journal " Illustrated London News. "