En cours de chargement...
Beatriz Preciado constate que les normes de la sexualité sont aujourd'hui produites et contrôlées par l'univers du porno comme par la diffusion de substances chimiques. Auto-cobaye pour les besoins de l'écriture en prenant de la testostérone pendant 236 jours, elle entend prouver que son corps " n'appartient ni à [sa] famille, ni à l'Etat, ni à l'industrie pharmaceutique ". Expérience politique avant tout, cet ouvrage transgresse les limites traditionnelles de l'essai philosophique.
Un véritable questionnement sur le genre et l'identité.