Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En 1669 paraît un recueil de cinq lettres signées d'une religieuse portugaise elle s'adresse, éperdue à son amant infidèle, qui l'a abandonnée....
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En 1669 paraît un recueil de cinq lettres signées d'une religieuse portugaise elle s'adresse, éperdue à son amant infidèle, qui l'a abandonnée. Le succès est immédiat et immense - d'emblée le livre s'impose comme un modèle de correspondance amoureuse. Pendant longtemps, cependant, la polémique fait rage : s'agit-il d'une fiction, comme le soutient Rousseau ou de lettres authentiques ? Il aura fallu presque trois siècles pour que le texte soit rendu à son genre, le roman épistolaire, et à son véritable auteur, le poète et diplomate Guilleragues. Lamento de l'amour pur, les Lettres portugaises ont marqué et intrigué d'innombrables écrivains, de Saint-Simon à Guy Goffette, en passant par Stendhal et Rilke, qui les traduisit en allemand et en fît l'éloge suivant : "Les paroles de cette religieuse contiennent le sentiment tout entier, ce qu'il a d'exprimable et ce qui est en lui indicible. Et sa voix est pareille à celle du rossignol, laquelle n'a pas de destin ".