Les dix enfants que madame Ming n'a jamais eus

• Inattendu

surprenant, un petit livre mais une grande découverte, à lire très vite !

• Attendrissant

Grâce à une écriture franche et élégante, Eric Emmanuel-Schmitt nous livre sa vision du bonheur personnel. Une fable plaisante, bien qu'assez peu profonde, qui nous parle d'humanisme, d'espoirs déçus et de noblesse du coeur. Un conte comme sait si bien les faire Schmitt, humain et sensible, qui ravira ses lecteurs sans toutefois parvenir à convaincre parfaitement...

http://art-enciel.over-blog.com/les-dix-enfants-que-madame-ming-n-a-jamais-eus-d-eric-emmanuel-schmitt

• Drôle
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• révolution culturelle
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• Madame Ming

Un livre délicieux, plein d'humour et permettant de comprendre certaines facettes de la culture chinoise... Eric Emmanuel Schmitt nous délivre ici un tout petit livre qui se déguste en peu de temps... Presque frustrant car on passerait volontiers plus de temps avec Madame Ming !!...

Ce roman est le sixième récit composant le Cycle de l'Invisible.

Ce court roman met en scène le narrateur, on ne connait pas son prénom mais il travaille dans une grosse entreprise et son travail l'amène souvent à voyager et à séjourner dans des grands hôtels. C'est en Chine qu'il fait la connaissance de Madame Ming, honorable dame pipi de son état.

Peu à peu ils vont lier connaissance et Madame Ming va parler de sa nombreuse progéniture à son interlocuteur. Celui-ci est très étonné car la politique familiale en Chine est drastique : un enfant par foyer pas plus. Alors 10 enfants !! Pensez donc c'est un mensonge à n'en pas douter.

Mais malgré sa certitude que Madame Ming est une affabulatrice hors pair, il s'aperçoit que pour elle c'est la vérité vraie. Du coup, il confronte son existence à celle de Madame Ming, il va se poser beaucoup de questions sur sa vie. Les réponses qu'il trouvera feront à coup sur de lui un homme meilleur.

Cette humble femme est très sage et bien loin de l'image austère de son métier va se révéler être d'une fraicheur et d'une sensibilité hors du commun. On ne peut qu'apprécier ce petit bout de femme.

Eric Emmanuel Schmitt signe ici un très joli conte sur la famille marqué par les pensées de Confucius.

• Chine
• Madame Ming

Les premières pages de ce livre m'ont paru ardues à lire et j’avais de la difficulté à accrocher sur l'histoire.
À la suite de ces premières pages, ce roman est davantage fluide et aisé à lire.
Je recommande ce livre (3.5/5), mais pas à tous les lecteurs. Le thème de ce roman est relativement philosophique. Pour ceux qui ont soif d'actions, ne lisez pas ce livre. En réalité, il ne se passe pas grand-chose, tout se déroule autour de conversations.
Pour une fois, la fin du roman m'a assez charmée. Le seul bémol est qu'il semble manquer de la chair autour de l'os quant aux motivations de Ting Ting...

J’ai à nouveau tenté ma chance avec E.E Schmitt dont j’ai lu Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, et Oscar et la Dame Rose, avec le sentiment de lire un auteur très inégal. Un avis positif pour ce livre-là me fera fléchir quelque peu dans mon souhait ne plus me laisser piéger une nouvelle fois !!!! Et je crois bien m’être à nouveau fait avoir …
Ce court roman aura au moins l’avantage de se lire facilement, et d’en être assez vite débarrassé. Car au fond que reste-t-il de ces 115 pages ? Quelques sages formules tout droit sorties de la doctrine de Confucius. Elles ne sont hélas pas nouvelles pour moi ; j’ai les mêmes sur un calendrier perpétuel édité par un magazine célèbre ….
Un conte moderne, je disais, qui aurait gagné à être plus consistant, plus étoffé ; Les formules sont banales. Et le comble, j’y ai vu, ou du moins perçu, l’ombre du commencement d’un plagiat avec un ouvrage à succès de Muriel Barbery ; en tout cas des similitudes troublantes : Madame Ming se faisant renverser par une voiture, tout comme la concierge, il y a quelques années……
Bref, je l’ai fini il y a quelques heures, et je ne m’en souviens presque plus…..Mauvaise pioche !
Monsieur Schmitt, vous avez une bonne tête, vous savez vendre vos bouquins, mais c’est fini, vous ne m’y reprendrez plus.

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Il existe un plaisir que je juge définitivement non négligeable à lire un petit roman, d'une centaines de pages, d'une traite.
Le plaisir de rentrer dans l'histoire sans jamais en sortir. Le plaisir de pouvoir se délecter de chaque mot, de chaque pensée. Et c'est là tout l'art d'Eric-Emmanuel Schmitt, nous offrir une histoire, certes, on ne peut plus simple et presque banale, pour nous servir matière à réfléchir.
Ce nouvel opus du "Cercle de l'Invisible" est en ce sens un petit plaisir à déguster sans modération, à la découverte de Mme Ming, mais aussi à la découverte de soi même.