Lefranc Tome 23 - E-book - PDF

L'éternel Shogun

Note moyenne 
Au tout début des années 50, accueilli par les services culturels du palais impérial, Lefranc est en reportage à Tokyo au Japon, toujours occupé... Lire la suite
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Résumé

Au tout début des années 50, accueilli par les services culturels du palais impérial, Lefranc est en reportage à Tokyo au Japon, toujours occupé par les forces américaines après la défaite de 1945. Mais sa mission tourne court. À peine est-il arrivé qu'il est témoin d'un vol au musée de l'Empereur. Malgré son intervention, les voleurs - dont l'un, capturé, se suicide sous ses yeux - parviennent à s'emparer de l'armure de guerre du dernier shogun.
L'événement est grave, car l'armure est le symbole du clan Tokugawa, soumis par l'Empereur à la fin du XIXe siècle. Humiliés, ces héritiers de la vieille aristocratie des samouraïs rêvent de reprendre le combat, surtout depuis que l'Empereur a capitulé à son tour devant les Américains. La possession de l'armure pourrait être le déclic qu'ils attendent, aidés dans leurs projets par un groupe de fanatiques nazis rescapés de la Seconde Guerre mondiale.
Galvanisés eux aussi par le désir de revanche, ils viennent, à bord d'un sous-marin, de débarquer clandestinement une arme secrète dans l'archipel. Lefranc va avoir affaire à très forte partie.

Caractéristiques

  • Date de parution
    11/04/2012
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-203-13441-6
  • EAN
    9782203134416
  • Format
    PDF
  • Nb. de pages
    48 pages
  • Caractéristiques du format PDF
    • Pages
      48
    • Taille
      39 905 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

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À propos des auteurs

Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire.
Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique.
Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr.
La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou.
Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq.
Cette collaboration prend fin au bout d'un an, mais Jacques Martin n'en continue pas moins d'utiliser ce patronyme masqué. Jusqu'en 1948, il alterne les séries réalistes avec les séries humoristiques. Le premier récit à suivre, dessiné pour Bravo est Lamar, l'homme invisible qui s'apparente fort à Flash Gordon dont les aventures paraissaient également dans l'hebdomadaire. Dans la foulée, il crée Oeil de Perdrix, nouveau héros dont la première aventure, Le secret du Calumet fut directement publiée en album.
Vers la même époque, il signe encore une autre série humoristique dont la première histoire s'intitule Le Hibou gris et qui est prépubliée simultanément dans deux quotidiens belges. Reprise l'année suivante dans un hebdomadaire (Story), il lui donne une suite, Le Sept de Trèfle qui peut être considéré comme un premier brouillon de ce que sera La Grande Menace. Toujours dans ce même intervalle de temps, paraît La Cité fantastique, une bande dessinée ayant pour thème la guerre.
Dès 1946, Jacques Martin conçoit un projet de journal pour jeunes qu'il baptise Jaky. Malheureusement le numéro un de l'hebdomadaire Tintin est sur le point de sortir, réunissant une impressionnante brochette de grands auteurs. Jaky échoue au fond d'un tiroir. Tout en poursuivant ses collaborations à Bravo et à Story, Jacques Martin pose sa candidature au Journal de Tintin. C'est en 1948, qu'il crée le personnage d'Alix, le proposant aussitôt à Raymond Leblanc, futur directeur du Journal de Tintin.
Alix l'intrépide paraît en feuilleton dans le journal des 7 à 77 ans, à partir du 16 septembre 1948. En 1950, J Thierry Robberecht, auteur de livres pour les petits, de romans pour les ados, de chansons pour la radio et scénariste de BD pour tout le monde. Régric est le pseudonyme que Frédéric Legrain (né en 1969) s'est composé à 7 ans, quand il voulait déjà devenir dessinateur de Bande Dessinée.
Il a appris son métier en recopiant des comics américains, puis en s'inspirant des maîtres de l'école franco-belge qu'il admire le plus : Hergé et ses collaborateurs E. P. Jacobs, Jacques Martin, Roger Leloup et Bob de Moor. Il a eu le plaisir de rencontrer ce dernier, qui l'a chaleureusement encouragé à continuer. Il a publié sa première BD à l'âge de 14 ans : une parodie de La Chasse aux Trésors (Bédésup, « spécial Tintin ») ; il publie ensuite diverses histoires courtes dans Triolo (éd.
Fleurus) et Jet (éd. Du Lombard) ; il réalise aussi un album « petit format » de 100 pages vulgarisant la philosophie de Cicéron (éd. A2 Bridge, 1998). Depuis 1994, il travaille aussi dans une société de production de dessins animés, où il a notamment réalisé des décors pour Lucky Luke. En 2003, il propose ses services à Jacques Martin, qui l'engage pour écrire et illustrer une nouvelle série d'albums didactiques : les Voyages de Lefranc, consacrés à l'Histoire de l'Aviation.
Après 3 albums autant appréciés par les spécialistes de l'Aviation que par le grand public, il fait équipe avec le scénariste Michel Jacquemart pour continuer le nouveau cycle des aventures de Lefranc dans les années '50, entamé avec Le Maître de l'Atome ; ce duo réalise ainsi Noël Noir (octobre 2009), dans le même esprit et un style proche du Repaire du Loup, album que Bob de Moor avait illustré il y a 40 ans.

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