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Édition bilingue français-allemand / fournie avec une édition adaptée à un public dyslexique (elle aussi en bilingue).
La Métamorphose (Die Verwandlung) est un roman court écrit par Franz Kafka en 1912 et publié en 1915. Il s'agit d'une de ses ouvres les plus célèbres avec Le Procès. La nouvelle décrit la métamorphose et les mésaventures de Gregor Samsa, un représentant de commerce qui se réveille un matin transformé en un « monstrueux insecte ».
Die Verwandlung ist eine im Jahr 1912 entstandene Erzählung von Franz Kafka.
Die Geschichte handelt von Gregor Samsa, dessen plötzliche Verwandlung in ein Ungeziefer die Kommunikation seines sozialen Umfelds mit ihm immer mehr hemmt, bis er von seiner Familie für untragbar gehalten wird und schließlich zugrunde geht.
une claque
ma chronique: http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/la-metamorphose-franz-kafka.html
Le mot de la fin : telles que toutes les œuvres de Kafka, l'histoire est bouleversante, percutante. Comme la Lettre au père, cette lecture fait autant de mal que de bien par l'expression de sa propre souffrance. Elle a de nombreuses interprétations qui dépendent de la subjectivité de chaque lecteur. Pour ma part, je trouve qu'il y dépeint les conséquences du jugement, de l’incompréhension et de la peur entre les humains. Tout cela, pouvant mener jusqu'à l'ultime acte de violence, la mort. J'y vois une souffrance, la souffrance d'un enfant qui est étranger dans sa propre famille. Etre si différent des siens au point de se sentir un parasite. " Parasite"; mot employé par certains parents, pour caractériser un esprit qu'ils ne comprennent pas, qu'ils ne maîtrisent pas. Comment ne pas être enchaîné à un être aussi abominable? En s'en débarrassant! Mais pas n'importe comment, en omettant toute reconnaissance envers cet être qui pourtant a tout fait, et ne demandait qu'à être aimé, à s'intégrer, allant jusqu'à altérer sa personnalité. Puis en se légitimant, se faisant plaindre, en dénonçant avec conviction le fait que l'on a tout essayé pour ne pas en arriver là. Où? À l'aboutissement final qui n'est autre que la destruction sans autre forme de procès de ce "poison" qui nous gêne.