Câline et Calebasse l'intégrale Tome 1 - E-book - PDF

1969-1973

Note moyenne 
Jeune et fringant mousquetaire, Calebasse nous fait vivre de trépidantes aventures en compagnie de sa fidèle mais non moins caractérielle jument, l'irascible... Lire la suite
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Résumé

Jeune et fringant mousquetaire, Calebasse nous fait vivre de trépidantes aventures en compagnie de sa fidèle mais non moins caractérielle jument, l'irascible Câline. Malgré un succès certain, la série connaîtra peu de publications en album - ce qui explique que nombre d'histoires courtes de Câline et Calebasse soient depuis longtemps devenues introuvables. Cette intégrale vient combler ce manque, en réunissant, dans le présent volume, des histoires au long cours telles que "Les Mousquetaires", "Les Joyaux de la reine", ou encore "À l'ombre de la Bastille" ; des histoires courtes comme "Le Diamant noir" ou "Les Mousquetaires du printemps" ; ainsi que des illustrations et des couvertures parues dans Le journal de Spirou.

Caractéristiques

  • Date de parution
    24/11/2016
  • Editeur
  • Collection
    Câline et Calebasse - L'intégr
  • ISBN
    979-10-347-0110-0
  • EAN
    9791034701100
  • Format
    PDF
  • Nb. de pages
    296 pages
  • Caractéristiques du format PDF
    • Pages
      296
    • Taille
      220 549 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

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À propos des auteurs

"Le divan, c'est mon outil de travail. Dans presque toutes les pièces de la maison il y en un, ou quelque chose qui lui ressemble." Raoul Cauvin, scénariste aux mille et une histoires, l'avoue humblement : il ne peut réfléchir correctement que lorsqu'il est allongé. Il ajoute : "D'ailleurs, je vous défie de penser les yeux ouverts !" Né à Antoing le 26 septembre 1938, Cauvin est l'une des rares personnes à avoir suivi pendant cinq ans des études de lithographie publicitaire à l'Institut Saint-Luc de Tournai, pour découvrir en entrant dans la vie active que cette profession n'existait plus ! Suivent toute une série de petits métiers et notamment un emploi dans une usine de boules de billard, qui lui développe une véritable passion pour ce jeu sur tapis vert où l'on ne mise guère plus qu'une tournée générale. Il entre en 1960 aux Éditions Dupuis comme...
lettreur (passage obligé s'il en est), puis devient rapidement caméraman au département dessins animés où il restera 7 ans. Durant ces années, il se découvre une autre passion : le scénario. C'est Charles Dupuis lui-même qui lui offre sa chance. Cauvin fait ses premières armes avec des collaborateurs internes de la Maison : Ryssack ("Arthur et Léopold"), Gennaux ("L'Homme aux phylactères", "Loryfiand et Chifmol"), Degotte, Carlos Roque et Vittorio.
A ses débuts, il travaille avec une jeune dessinatrice parisienne : Claire Bretécher ! Leur collaboration donne naissance à une série intitulée "Les Naufragés". 1968 est l'année clef. Cauvin et Salvérius lancent leur propre western : "Les Tuniques Bleues", une bande dessinée d'humour sur fond de guerre de Sécession. A la mort du dessinateur, il propose la reprise de la série à Lambil qui la développera jusqu'aux hautes altitudes des best-sellers.
Cette saga dépasse les quinze millions d'exemplaires vendus en français et fait l'objet d'innombrables traductions à travers l'Europe. Toujours responsable de la vieille machine Rank tirant les copies et travaux d'agrandissement ou de réduction pour les rédactions et les auteurs de passage, Cauvin est désormais au centre de la toile et, grâce à sa renommée grandissante, il se voit sollicité par tous les dessinateurs à court de scénario. Une série de succès s'amorce avec Berck ("Sammy" et "Lou"), Mazel ("Caline et Calebasse", puis "Boulouloum et Guiliguili" et "Les Paparazzi"), Macherot ("Mirliton"), Walthéry ("Le Vieux bleu"), Counhaye ("Les Naufragés de l'espace"), Lambil ("Pauvre Lampil"), Kox ("L'Agent 212"), Sandron ("Godasse et Godaille"), Bercovici ("Les Grandes Amours contrariées"), Nic ("Spirou et Fantasio"), Carpentier ("Les Toyottes"), etc.
En parallèle, il écrit des scénarios pour les personnages de dessins animés de la Maison ("Musti", Tip et Tap", "Les Pilis") et leurs produits dérivés. S'il excelle dans l'aventure humoristique pour tous les publics et toutes les formes du gag visuel, il évolue dans les années 80 vers des productions plus incisives, proches souvent de l'humour noir et de la parodie délirante. Ainsi le veut sa nouvelle vague de dessinateurs : Bercovici ("Les Femmes en Blanc"), Hardy ("Pierre Tombal"), Glem ("Les Voraces"), Laudec ("Cédric" et "Taxi-girl"), Malik ("Cupidon"), Bédu ("Les Psy"), Carpentier ("L'Année de la bière", puis "Du côté de chez Poje"), Jean-Pol (la reprise de "Sammy" après le départ en retraite de Berck), etc. Rares sont les échecs : son imagination, la qualité de ses dialogues et le métier mis dans ses découpages qu'il livre complets à ses auteurs représentent une véritable mine d'or.
Le grand public est assuré de toujours trouver sous sa signature un album populaire et agréable à lire. C'est un don et il est extraordinaire qu'il puisse l'exercer sur autant de séries parallèles, le contraignant à fournir la matière d'une bonne quinzaine de volumes par année, sans jamais la moindre baisse de régime! Cauvin adore chasser les idées comme d'autres les papillons, et comme il le dit lui-même, pourvu que ça dure... Né le 27 juin 1931 à Herentals, dans la province d'Anvers, Mazel passe une enfance bercée par les romans d'aventures de Jules Verne ou d'Alexandre Dumas que son père lui lit le soir.
Admirant le Jijé de "Blondin et Cirage", Mazel reconnaît que c'est Morris - dont il loue le sens de la narration - qui lui a donné l'envie d'être auteur de bande dessinée. Il dessine en cachette depuis l'âge de onze ans, mais lorsqu'il intègre l'institut de Saint-Luc, c'est pour y suivre, sur le conseil de ses parents, des études d'architecture. Architecte diplômé, il construit des maisons et meuble ses loisirs en concevant les décors de plusieurs pièces de théâtre.
Il s'essaie même sur scène : "La troupe était mauvaise et j'étais le plus mauvais de tous. J'étais si ému qu'il me fallait avaler une demi-bouteille de vin - moi qui ne bois jamais - pour parvenir à sortir mes répliques. Et j'avais le sacré défaut de les mélanger toutes. Je jouais par contre très bien les morts et, dans "Dix petits nègres", foudroyé par le poison versé dans mon verre d'alcool, j'avais le don de tomber par terre avec tellement de conviction que tout le monde était terrorisé..." C'est au théâtre, en rencontrant une jeune fille - sur le programme de laquelle il dessine un croquis - qu'il décide de se lancer dans la BD : la belle inconnue n'est autre que la nièce de Sirius et elle l'encourage à se présenter chez Dupuis.
Il mettra un mois à dessiner sa première planche... À la fin des années 1950, il illustre une "Belle Histoire de l'oncle Paul" pour SPIROU, puis entre en 1960 à TINTIN où il multiplie les ébauches de séries en cherchant son style : "L'Affaire Tarentule", les gags des clochards "Bôjolet et Riesling", ceux de "Cromagnon", des récits complets en parallèle pour PILOTE (l'agent secret "O. K. 27.43", sous le pseudonyme Zem).
Son goût du panache l'incite à lancer en 1966 les mousquetaires "Fleurdelys et Patacrac", sur scénario de Vicq. Sa voie est trouvée ! En 1969, Charles Dupuis lui propose de travailler avec Cauvin. Ils publient dans SPIROU la série "Câline et Calebasse", un d'Artagnan de fantaisie et son irascible jument qui s'effacent en 1976 au profit d'un petit Tarzan et son gorille, "Boulouloum et Guiliguili", rebaptisés ultérieurement "Kaloum et Kong" (dans "Les Jungles perdues"). Parallèlement, il se masque du pseudonyme Mavericq pour lancer un western humoristique, "Coyote Bill", dans PIF où il est entré en collaborant discrètement au studio Greg pour la série "Les As". Pour SPIROU, il anime brièvement une héroïne du farwest, "Jessie Jane" (1981), sur une idée de Gérald Frydman, puis relance "Câline et Calebasse" sous le nouvel intitulé "Les Mousquetaires" (1989), dont il assume cette fois le scénario, et se tourne enfin avec Cauvin en 1993 vers une nouvelle série bien dans l'air du temps : "Les Paparazzi", couple de reporters-photographes de choc accumulant les déboires au plus grand plaisir du public. Passionné de littérature, auteur complet de "La Première Femme de Barbe Bleue" chez PetT Productions (1997), Mazel rêve de donner une suite au "Livre de la jungle" avec une mise en couleur à l'aquarelle et d'adapter des nouvelles de Francisco Coloane, l'auteur de "Cap-Horn".

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