Alix origines Tome 3 - E-book - Epub fixed layout

Le démon de Torralba

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Alors qu'ils échappent aux phéniciens qui les détiennent en esclavage, Alix et Alexia se retrouvent en Sardaigne. Ils y découvrent une bande d'enfants... Lire la suite
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Résumé

Alors qu'ils échappent aux phéniciens qui les détiennent en esclavage, Alix et Alexia se retrouvent en Sardaigne. Ils y découvrent une bande d'enfants perdus, tout comme eux. Ces derniers vivent de rapines et de petits vols. Dans cette drôle de bande, se retrouvent des enfants de partout, des grecs, des sardes, des gaulois, des égyptiens, des wolofs... Les plus jeunes volent, les plus vieux chassent.
Ce groupe dirigé par Corbeddu, un sarde, a connu malheureusement récemment des disparitions : tantôt victime d'un fauve, tantôt d'une chute. Après avoir sauvé le groupe des voleurs d'un fermier mécontant, Alix en est nommé chef, au dam de Viriato qui le dirigeait jusqu'alors. Un matin, Crobeddu part seul, Alix décide de le suivre. Une entrevue a lieu entre celui-ci et Corbu, un homme bien étrange qui veut sacrifier Alexia...
Alix sauvera-t-il sa sour de cette machination ?

Caractéristiques

  • Date de parution
    06/04/2022
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-203-24238-8
  • EAN
    9782203242388
  • Format
    Epub fixed layout
  • Nb. de pages
    58 pages
  • Caractéristiques du format Epub fixed layout
    • Pages
      58
    • Taille
      71 936 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

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À propos des auteurs

Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire.
Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique.
Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr.
La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou.
Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq.
Cette collaboration prend fin au bout d'un an, mais Jacques Martin n'en continue pas moins d'utiliser ce patronyme masqué. Jusqu'en 1948, il alterne les séries réalistes avec les séries humoristiques. Le premier récit à suivre, dessiné pour Bravo est Lamar, l'homme invisible qui s'apparente fort à Flash Gordon dont les aventures paraissaient également dans l'hebdomadaire. Dans la foulée, il crée Oeil de Perdrix, nouveau héros dont la première aventure, Le secret du Calumet fut directement publiée en album.
Vers la même époque, il signe encore une autre série humoristique dont la première histoire s'intitule Le Hibou gris et qui est prépubliée simultanément dans deux quotidiens belges. Reprise l'année suivante dans un hebdomadaire (Story), il lui donne une suite, Le Sept de Trèfle qui peut être considéré comme un premier brouillon de ce que sera La Grande Menace. Toujours dans ce même intervalle de temps, paraît La Cité fantastique, une bande dessinée ayant pour thème la guerre.
Dès 1946, Jacques Martin conçoit un projet de journal pour jeunes qu'il baptise Jaky. Malheureusement le numéro un de l'hebdomadaire Tintin est sur le point de sortir, réunissant une impressionnante brochette de grands auteurs. Jaky échoue au fond d'un tiroir. Tout en poursuivant ses collaborations à Bravo et à Story, Jacques Martin pose sa candidature au Journal de Tintin. C'est en 1948, qu'il crée le personnage d'Alix, le proposant aussitôt à Raymond Leblanc, futur directeur du Journal de Tintin.
Alix l'intrépide paraît en feuilleton dans le journal des 7 à 77 ans, à partir du 16 septembre 1948. En 1950, J Passionné par l'Alaska, il en invoquera les décors dans ses premières aventures BD. Diplômé de la Sorbonne en Histoire, dessinateur et scénariste, il est ravi lorsqu'il peut apprendre au lecteur à travers ses albums aux thèmes historiques. Avec Alix Origines, il mêle une fois de plus avec brio fiction et réalité historique. Illustrateur et auteur de bande dessinée, Olivier Weinberg rencontre Jacques Martin en 2008, qui lui propose de travailler sur Les Voyages de Lefranc.
Le premier album résultant de cette collaboration est Les Reportages de Lefranc - Le Mur de l'Atlantique, paru en 2011.

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