Victor Hugo et le sac du Palais d'Eté

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Nora Wang et Xin Ye - Victor Hugo et le sac du Palais d'Eté.
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Caractéristiques

  • Date de parution
    08/01/2004
  • Editeur
  • Collection
    Visions d'artistes
  • ISBN
    2-84654-055-1
  • EAN
    9782846540551
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    192 pages
  • Poids
    0.89 Kg
  • Dimensions
    24,6 cm × 27,5 cm × 1,5 cm

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À propos des auteurs

Nora Wang : Ancien élève de l'E.N.S., a effectué plusieurs séjours de longue durée en Asie. Elle a consacré sa thèse aux Chinois expatriés en France dans les années vingt, et enseigne l'histoire contemporaine de la Chine à l'université Paris VII-Denis Diderot. Nora Wang a publié : L'Asie orientale du milieu du XIXe siècle à nos jours, chez A. Colin (1993, 2000) Émigration et Politique. Les étudiants-ouvriers chinois en France, 1919-1925, Les Indes savantes, 2002.
Shanghai Années Vingt, Les Indes savantes (à paraître). Wang Lou est né en janvier 1944, dans une famille traditionnelle de lettrés. Le caractère de son prénom, francisé en Lou, est celui de " l'État de Lu ", nom ancien du Shandong, sa province natale mais aussi la patrie de Confucius. À douze ans, dans le tumulte qui suivit la révolution de 1949, il retrouve sa famille à Taipei et y entreprend des études classiques.
Son talent se révèle assez vite : Lauréat d'un concours de dessin à 15 ans, il annonce à son père qu'il veut entrer aux Beaux-Arts ou dans une école d'arts appliqués. Après avoir essuyé un refus, il négocie cependant d'étudier la philosophie à Furen, célèbre université fondée par les jésuites, tout en préparant une école de journalisme. Il pratique la calligraphie et suit plusieurs années l'enseignement du maître Ren Powu.
Il entre comme journaliste économique dans le plus grand groupe de presse de Taiwan. La passion de la peinture le pousse à tout quitter pour venir en Europe. A la veille de Noël 1972, il arrive à Paris où il enseigne le chinois à l'Université Paris VIII-Vincennes et fréquente rapidement l'atelier de Georges Lardant à Cachan. La dramatique répression des mouvements étudiants de Pékin en 1989 met fin à ses projets de participation à toute manifestation artistique en Chine continentale, mais sera l'occasion pour lui de reprendre son métier de journaliste en entrant à l'antenne chinoise nouvellement créée de Radio France Internationale.
Wang Lou a co-traduit La Forteresse assiégée de Qian Zhongshu et consacre une partie de ses loisirs à l'Opéra de Pékin. Il participe à plusieurs expositions telles que Expressions chinoises (INSEAD, Fontainebleau, en octobre 1996), ou à Peintres du spectacle (Toit de la Grande Arche, Paris, septembre 1998). Il expose à la galerie Luo Han et à la galerie Sinitude, à Paris, où il rencontre fréquemment Ye Xin.
Ye Xin est né à Pékin en 1953. Son père est fonctionnaire chargé de la sécurité dans les chemins de fer et sa mère, infirmière, est affectée à l'institut du Marxisme-léninisme, construit sur les décombres du Yuan Ming yuan. En 1966 toute sa famille est déplacée dans une petite ville perdue du Shanxi. Ye Xin devient ouvrier dans une usine de tracteurs. On y travaille, vit, mange, dort, prend des cours, mais aussi des coups, physiques et moraux.
Ye Xin dessine, peint et fait de la gravure. Ses supérieurs décèlent vite en lui la possibilité de satisfaire au mythe en vogue de " l'ouvrier artiste " et le renvoient à Pékin : admis dans la première promotion de réouverture de l'université des Beaux Arts, il devient rédacteur à la revue des Beaux-Arts du Peuple, spécialiste de la bande dessinée. En 1986 il quitte la Chine pour la France, invité a participer au salon de la Bande dessinée d'Angoulême.
Il se fixe à Paris. Repéré par Jean Louis Baissier, alors professeur à l'université de Vincennes, il s'inscrit à l'université de Paris-Sorbonne où il passe un doctorat en histoire de l'art ayant pour sujet Matisse et la Chine. La liste de ses expositions est impressionnante. On voit ses œuvres au musée d'Angoulême mais aussi au British Museum (1987) à la bibliothèque du musée Rodin, au musée d'art de Chamalières (1988), à la bibliothèque d'Eaubonne (1991), à la galerie Konoha à Tokyo (1994), chez Christie's (Londres 1998), au Musée d'Histoire Contemporaine (Paris 1999), à la Fnac (Paris 2000), à Vevey, à Berne et à Paris, en 2003 (galerie Sinitude).
Baudelaire, l'étranger, Calligraphies (Édition You Feng, Paris 1997) établit sa connivence avec la poesie.

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